Muitas destas histórias foram criadas para passar mensagens importantes ou apenas para assustar as pessoas. O folclore pode ser dividido em lendas e mitos. Muitos deles deram origem à festas populares, que ocorrem pelos quatro cantos do país. As lendas são estórias contadas por pessoas e transmitidas oralmente através dos tempos. Misturam fatos reais e históricos com acontecimentos que são frutos da fantasia. As lendas procuraram dar explicação a acontecimentos misteriosos ou sobrenaturais. Os mitos são narrativas que possuem um forte componente simbólico. Como os povos da antiguidade não conseguiam explicar os fenômenos da natureza, através de explicações científicas, criavam mitos com este objetivo: dar sentido as coisas do mundo. Os mitos também serviam como uma forma de passar conhecimentos e alertar as pessoas sobre perigos ou defeitos e qualidades do ser humano. Deuses, heróis e personagens sobrenaturais se misturam com fatos da realidade para dar sentido a vida e ao mundo.
Extrait : "Sous un ciel gris s'étend une plaine immense. A l'horizon, les objets confus nagent dans un cercle de brume de trois cent trente degrés, brisé seulement vers le sud par un mamelon verdoyant, surmonté d'un clocher." À PROPOS DES ÉDITIONS LIGARAN : Les éditions LIGARAN proposent des versions numériques de grands classiques de la littérature ainsi que des livres rares, dans les domaines suivants : • Fiction : roman, poésie, théâtre, jeunesse, policier, libertin. • Non fiction : histoire, essais, biographies, pratiques.
Extrait : "Eh bien, prince, que vous disais-je ? Gênes et Lucques sont devenues les propriétés de la famille Bonaparte. Aussi, je vous le déclare d'avance, vous cesserez d'être mon ami, mon fidèle esclave, comme vous dites, si vous continuez à nier la guerre et si vous vous obstinez à défendre plus longtemps les horreurs et les atrocités commises par cet Antéchrist…"
Ce roman décrit la vie d'une jeune femme pauvre, illuminée inspirée par sa foi chrétienne. Sa mère, une mégère sordide, et son compagnon, un ivrogne, l'obligent à se p********r pour subvenir à leurs besoins. Elle se retrouve sous la protection d'un peintre, dans le milieu duquel elle approchera d'autres artistes, écrivains, enlumineur, etc. Après la mort de son bienfaiteur, elle épousera l'enlumineur... Ce texte est un hymne chrétien au bonheur d'être malheureux.
Extrait : "Les Doutlof sont bien à plaindre, madame. Ce sont tous de braves gens. Si nous ne nous mettons pas sur la liste un des serfs attachés à la maison, ce sera le tour d'un des fils Doutlof. Mais il sera fait selon votre volonté. Il posa sa main droite sur la gauche, les mit sur son ventre, courba légèrement sa tête, serra ses lèvres minces, ferma les yeux et se prépara évidemment à écouter avec patience toutes les sottises que lui débiterait sa maîtresse." À PROPOS DES ÉDITIONS LIGARAN : Les éditions LIGARAN proposent des versions numériques de grands classiques de la littérature ainsi que des livres rares, dans les domaines suivants : • Fiction : roman, poésie, théâtre, jeunesse, policier, libertin. • Non fiction : histoire, essais, biographies, pratiques.
Extrait : "Tous les bonheurs se ressemblent, mais chaque infortune a sa physionomie particulière. La maison Oblonsky était bouleversée. La princesse, ayant appris que son mari entretenait une liaison avec une institutrice française qui venait d'être congédiée, déclarait ne plus vouloir vivre sous le même toit que lui."
A PROPOS DE L'AUTEUR Léopold Courouble (Bruxelles 1861-1937) Âgé à peine de sept ans, Léopold a été mis en pension à Vanves. Pensionnaire quelque temps au Lycée Louis-le-Grand, il revient adolescent de Paris en 1877, pour achever ses humanités à l’Athénée de Bruxelles. S’il lui plaira, dans le cycle des Kaekebrœck [...] et quelques autres ouvrages, de peindre avec un réalisme tout imprégné de sympathie les Bruxellois bruxellisants du bas de la ville, il lui déplaisait que son entreprise amenât les esprits simplistes à voir en lui un bon Brusseleer. Inscrit à l’Université libre de Bruxelles, il en sort en 1884 avec le diplôme de docteur en droit. [...] Le métier d’avocat s’offre à lui. Il plaide quelque peu, mais il eut vite fait, dira George Garnir, de prendre en grippe la robe et le rabat du stagiaire. Il s’embarque alors comme simple matelot sur un navire qui part pour l’Amérique [...] Il s’oriente vers le journalisme [...] Voilà qu’on lui propose, en 1889, un poste de magistrat au Congo. Il l’accepte, et il apporte à ses fonctions un zèle méritoire. Mais des ennuis de santé interrompent sa carrière africaine. EXTRAIT C’est à la fin janvier, vers six heures du soir, que j’arrivai à Léopoldville par le chemin de fer. Le ciel était brouillé, soucieux ; un jour livide enveloppait le beach au milieu duquel une immense baleinière en montage arrondissait ses côtes de tôle encore incomplètes, tel un fossile monstrueux récemment extrait d’une couche primaire. Le crépuscule commençait ; la nuit allait tomber « comme un évanouissement ». C’est pourquoi je ne m’attardai pas à analyser l’impression que ce paysage nouveau produisait sur mon âme toujours inquiète et un peu dispersée. D’ailleurs, deux gentlemen venaient de s’approcher, qui me souhaitaient la bienvenue. C’étaient MM. Heggen et Pirard, le juge et le substitut du Procureur d’État. Ils donnèrent des ordres pour que mes bagages fussent transportés sans délai dans la maison des magistrats ; puis, m’ayant présenté quelques fonctionnaires et officiers de la Force publique, ils m’invitèrent à faire l’ascension du plateau.
C’est un retraité du coin qui a découvert son cadavre : l’Eugène était un vagabond. Il a eu le crâne explosé par un tir de fusil de chasse. Dans la Baie de Somme, on a plus l’habitude des accidents de chasse que des meurtres. Paul Beauvillain, un jeune gendarme idéaliste pas vraiment convaincu par son choix de carrière, va tout faire pour découvrir la vérité. Et la vérité s’avère bien dérangeante : quand ses recherches l’orientent vers une assemblée de notables, son chef lui demande de suivre une autre piste ; piste qui le mène vers un bijoutier que tout accuse. L’enquête est bâclée, le dossier classé, mais Paul est convaincu que le bijoutier est innocent et qu’il faut chercher ailleurs les coupables, y compris dans les plus hautes sphères du pouvoir. EXTRAIT Ils virent d’abord le passage très net dans l’herbe. Quelque chose de lourd avait été tiré, il n’y avait qu’à suivre la trace. La terre sentait l’humus, le champignon, la pourriture. Les oiseaux continuaient de gueuler. Paul sentait chez eux une excitation inhabituelle, comme s’ils avaient été continuellement dérangés. Les hommes sentaient bien qu’ils approchaient du but. Ils avaient beau être habitués à la viande froide, des éclopés de la route aux petits vieux oubliés dans leur crasse claquant tout seuls dans leur lit, ils ne pouvaient empêcher le sentiment de malaise de les envahir par le nez, puis la bouche. Tous trois respiraient fort, sans faire de commentaire sur ce qu’ils avaient senti en même temps. Une autre odeur, plus forte que l’humus, les prenait aux narines. À PROPOS DE L'AUTEUR Né en 1953 à Boulogne-sur-Mer, Léo Lapointe est le nom de plume d’un expert international en affaires sociales. Après un doctorat consacré aux questions de politique sociale et de problématique de l’emploi, il partage sa vie entre la côte picarde où il est né, la Belgique où il réside et l’étranger où il a travaillé, notamment le Mexique, l’Algérie, le Chili et le Liban. Fortement engagé, c’est dans des associations à caractère social qu’il fait ses premières armes en tant qu’écrivain public. Défense des chômeurs, des immigrés, des réfugiés, des sans-logis… Léo Lapointe est sur tous les fronts. Ses premiers écrits sont autobiographiques et auto-justificatifs, une façon de se défendre contre les choses désagréables qui arrivent en temps de crise. C’est par la suite que l’auteur se tourne vers la fiction, et plus particulièrement le polar qui lui permet de garder une trame politique où flotte un léger parfum de corruption.
Nous étions en deuil de notre mère ; elle était morte l’automne précédent et nous passâmes tout l’hiver à la campagne, seules, Macha, Sonia et moi.Macha était une ancienne amie de la maison ; elle avait été notre gouvernante, nous avait toutes élevées, et mes souvenirs, comme mon affection pour elle, remontaient aussi loin que je me souvenais de moi-même.Sonia était ma sœur cadette.L’hiver s’écoula pour nous, sombre et triste, dans notre vieille maison de Pokrovski. Le temps fut froid, venteux, à tel point que la neige s’était amoncelée plus haut que les fenêtres ; celles-ci étaient presque continuellement couvertes de glace et ternes, et d’un autre côté nous ne pûmes, à peu près pendant toute la saison, sortir ni nous promener nulle part.
Plongez-vous avec humour dans les chroniques de familles bruxelloises Voici des « mœurs bruxelloises » mises en scène au travers des rapports entre les familles Kaekebroeck, Mosselman, Rampelbergh, Posenaer et autres habitants du « bas de la ville », héros pittoresques, croqués avec une grande dextérité. On ne peut s’empêcher de penser à Pagnol et à sa trilogie marseillaise. Des pages sobres et vraies, imprégnées d’une tendre bonhomie, vivantes et saines. Un récit attachant, de la couleur, une observation juste et pleine de bienveillance. Quant aux dialogues, dont l’auteur a compris l’importance, ils sont comme pris sur le vif tant ils sont naturels. Nul n’a mieux saisi que l’auteur de La Famille Kaekebroeck le jargon bruxellois émaillé de flandricismes, de belgicismes et de tropes hardis ou délicieux auxquels les lecteurs qui le peuvent ajoutent l’inimitable accent local. L’auteur parvient même à faire alterner, sans heurts et sans maladresses, l’atticisme de sa langue, fine et châtiée, avec le rude et burlesque baragouin de ses héros. C’est de ce contraste continuel que naît un charme irrésistible… Un classique de la littérature belge, au caractère comique et burlesque A PROPOS DE L'AUTEUR Léopold Courouble (Bruxelles 1861-1937) Âgé à peine de sept ans, Léopold a été mis en pension à Vanves. Pensionnaire quelque temps au Lycée Louis-le-Grand, il revient adolescent de Paris en 1877, pour achever ses humanités à l’Athénée de Bruxelles. S’il lui plaira, dans le cycle des Kaekebrœck [...] et quelques autres ouvrages, de peindre avec un réalisme tout imprégné de sympathie les Bruxellois bruxellisants du bas de la ville, il lui déplaisait que son entreprise amenât les esprits simplistes à voir en lui un bon Brusseleer. Inscrit à l’Université libre de Bruxelles, il en sort en 1884 avec le diplôme de docteur en droit. [...] Le métier d’avocat s’offre à lui. Il plaide quelque peu, mais il eut vite fait, dira George Garnir, de prendre en grippe la robe et le rabat du stagiaire. Il s’embarque alors comme simple matelot sur un navire qui part pour l’Amérique [...] Il s’oriente vers le journalisme [...] Voilà qu’on lui propose, en 1889, un poste de magistrat au Congo. Il l’accepte, et il apporte à ses fonctions un zèle méritoire. Mais des ennuis de santé interrompent sa carrière africaine. EXTRAIT Depuis neuf heures, enfermée dans son cabinet de toilette, la belle mais grosse Mme Keuterings s’ébouriffait et se débouriffait devant sa glace triptyque, à la recherche exaspérée d’une coiffure suggestive et moderne, quand M. Keuterings cria dans l’escalier : — Eh bien, Clémence, est-ce que ça y est ? On va manquer le convoi ! Clémence s’affola et, jetant le peigne : — Tant pis, dit-elle avec rage, je laisse mes cheveux comme ça ! Et elle s’habilla, car elle était seulement en chemise. Dans sa hâte, elle perdait la tête et ne retrouvait rien. Elle mit son pantalon à l’envers. Enfin elle passait sa robe, quand elle s’aperçut que ses souliers molière n’étaient pas lacés. Aussitôt, elle posa le pied droit sur une chaise. Mais tout à coup, un ferret sauta et le ruban de soie refusa obstinément de s’engager dans l’œillet.
Découvrez un monde où les nouvelles technologies permettent l'immortalité... Comment vivre quand la mort n’existe plus ? Développé dans la Silicon Valley par les grandes entreprises technologiques, le processus de Conversion permet désormais de conserver les consciences individuelles dans le cloud, altérant les fondements de la société humaine. Dans Londres, transformée en profondeur par le changement climatique, Oscar succombe peu à peu à l’ennui qui a déjà gagné une humanité sans but. Une rencontre fortuite l’amène à découvrir ce que vivre signifie dans un monde dominé par une dictature numérique. Suivez Oscar dans sa quête de sens, avec ce roman dystopique qui, à l'heure du numérique et des changements climatiques, n'est pas si éloigné de notre réalité... EXTRAIT – Qu’en est-il de cette « condition » ? relance Oscar après une courte réflexion. Adam reprend la parole d’une voix faiblarde. – Nous savions que l’adaptation serait difficile. Comme vous pouvez l’imaginer, la Conversion est un processus traumatique. Au moins, la nature du réceptacle rend le sujet très rationnel, ce qui limite les dégâts. Ce n’est pas vrai dans mon cas, toutes ces émotions et ces hormones sont incroyablement difficiles à contrôler. D’autant plus que ma précédente… enveloppe a disparu il y a trente ans et elle… j’étais âgé de plus de cent ans à l’époque. Il faut donc que mon cerveau « oublie » ses réflexes de grabataire et en même temps se réhabitue à manipuler des muscles faits de chair et de sang. Adam s’interrompt pour se masser les tempes. – Le deuxième problème est la perception de l’écoulement du temps. Dans un ordinateur, les fichiers sont datés mais ils existent tous de manière simultanée dans sa mémoire. Contrairement à l’esprit humain, un ordinateur garde une perception aussi claire d’événements vieux d’un jour ou de cent ans. C’est pareil pour les Convertis, s’ils peuvent trier chronologiquement les évènements, leurs souvenirs coïncident dans leur esprit et se mélangent en une espèce de bouillie synchrone. Ce n’est pas un problème qu’on peut résoudre, c’est axiomatique. Apprendre à trier la réalité des vestiges de mes vies passées, voilà ce qui explique ma fatigue et ma désorientation. Sa tirade achevée, il pose la tête en arrière sur le dossier du canapé et ferme les yeux. Le mouvement paraît inéluctable, comme un de ces antiques jouets dont les piles sont à plat. Faustine fait signe à Oscar d’approcher puis pose son index sur ses lèvres. En deux enjambées, il la rejoint. Elle se lève, lui attrape le bras. – Il vaut mieux partir, chuchote-t-elle. Je te fais signe très bientôt. CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE J'ai beaucoup apprécié cette lecture qui me faisait fréquemment m'interroger sur ce futur hypothétique. Une lecture singulière donc mais profondément humaniste dans un monde qui perd peu à peu son humanité. Une jolie curiosité à découvrir. - Blog Mes Évasions Livresques L'histoire est belle et très bien écrite. Léo-Paul Bailly-Kermène nous emmène dans un monde qui nous fait réfléchir. L'immortalité? Oui, et après? Comment gérer les limites des découvertes? Est-ce l'essence même de l'homme? - diamelee, Babelio À PROPOS DE L'AUTEUR Né à Paris en 1985, Léo-Paul Bailly-Kermène vit à présent à New York. Ingénieur de formation, il travaille dans l’industrie financière. Singularité est son premier livre.
Il y a quelques années, des troubles sérieux ayant éclaté en Crête, un navire de guerre français reçut l’ordre d’observer, à distance courtoise, les complications qui pourraient surgir et de protéger, au besoin, la sûreté de la population chrétienne.Le Prométhée, alors hivernant sur nos côtes en rade de Villefranche, fut désigné pour cette mission. Il devait gagner au plus tôt le mouillage de Rhodes, choisi à cause de son voisinage du point menacé. Peu d’heures après la réception du télégramme ministériel, le commandant Guérin mettait le cap sur Toulon pour porter ses approvisionnements au complet. Deux jours plus tard, le cuirassé filait vers l’Orient.Dire que tout le monde à bord, du commandant au dernier chauffeur, bénissait les Crétois, ce serait une exagération invraisemblable. La perspective de ces longues semaines à passer sous les vieux murs des Chevaliers de l’Hôpital n’avait rien de récréatif. Au carré, c’étaient de véritables gémissements.
Extrait : "Il y a quelques années, la mort subite de M. Marlotte, conseiller à la Cour de cassation, fut un événement pénible pour tous ceux qui avaient connu de près cet homme excellent et distingué. Profondément instruit, doux, simple, préférant les joies de l'étude et de la famille à tout plaisir comme à toute vanité..." À PROPOS DES ÉDITIONS LIGARAN : Les éditions LIGARAN proposent des versions numériques de grands classiques de la littérature ainsi que des livres rares, dans les domaines suivants : • Fiction : roman, poésie, théâtre, jeunesse, policier, libertin. • Non fiction : histoire, essais, biographies, pratiques.
Que faire quand son escortboy devient le père de ses enfants ? À 42 ans, Marie a tout pour être heureuse. Accomplie professionnellement dans l’agence de pub qu’elle a créée et où elle travaille avec ses amis, Marie est une Parisienne moderne qui croit en l’amitié et se dépense sans compter pour son entourage. Pour ce qui est des hommes, évadée d’un mariage terne dont elle se félicite chaque jour d’être libérée, elle les recrute désormais sur des sites d’escort boys. Gain de temps et lendemains faciles assurés ! Quand elle se découvre soudain enceinte de l’un d’eux, c’est tout un équilibre de vie qui se retrouve sur la sellette. Marie et les Autres nous conte un mois dans la vie d’une femme d’aujourd’hui. Un mois où les certitudes vacillent, où les grandes questions surgissent et où la frénésie du quotidien ne s’arrête pas pour autant. Un mois où tout, famille, amis, amours, carrière, doit trouver sa juste place. Un mois pour décider. Ce roman est un véritable plongeon dans la vie quotidienne de la femme moderne sur le point de devenir mère CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE - "Un récit moderne, bien écrit et rondement mené." (Corinne Abjean, Le Télégramme de Brest) - "Axel Léotard montre qu’il parvient à créer des personnages crédibles et à aborder des thèmes périlleux sans tomber dans le pathos ou la caricature." (Laurence, Biblioblog) - "Dans ce premier roman, Axel Léotard raconte un mois dans la vie d’une femme, quand tout vacille, qu’il faut faire des choix radicaux..." (Laurent Fialaix, Questions de femmes) - "C’est un livre très agréable à lire ; on a l’impression de devenir l’amie de Marie au fil des pages." (Adlinea.fr) - "Pour celles qui aiment les thèmes de société, et qui se retrouveront dans Marie mais aussi dans les autres personnages tous aussi attachants et bouleversants." (Trucdenana.com) A PROPOS DE L'AUTEUR Axel Léotard est né en France en 1969 et a grandi à l’étranger. Installé à Paris depuis l’âge de vingt ans, il est photographe quand la nécessité de l’écriture le laisse en paix. Après Mauvais genre, récit autobiographique paru en 2009, Marie et les Autres est son premier roman. EXTRAIT Le lit est installé face à la fenêtre, je ne ferme jamais les volets. Au réveil, je sais si la journée sera pluvieuse ou ensoleillée, c’est le premier baromètre de mon humeur. Je jette un coup d’oeil sur ma montre, et neuf fois sur dix, je constate mon retard. Mes matins sont des matins parisiens, des matins de café tiède, avalé en cinquième vitesse parce que je traîne dans la salle de bains, des matins France Info et son flash de huit heures trente. Ce matin est un morceau de ciel gris, une insulte au mois de juillet. Un matin de chance, aussi : je fais les trois quarts de la route dans les couloirs de bus avec, à chaque carrefour, cette montée d’adrénaline toute citadine : police ou pas ? La police est déjà en vacances, la subversion moderne tient à peu de choses. Je suis arrivée au bureau à l’heure et sous une pluie fine à faire friser un brushing. Un matin comme les autres, pourtant, Anne trouve, en me voyant rentrer dans le bureau, que je suis pâlotte.
Seriez-vous prêt à suivre votre âme sœur n'importe où ? Alinda est une jeune fille solitaire. Malgré tout, elle finit par rencontrer son âme sœur autant en amour qu'en amitié avec qui elle traversera de nombreuses étapes. Celles-ci l'emporteront vers le passage, accès à un autre monde. Quel est donc ce monde parallèle ? Et qui est vraiment Alinda ? Plongez dans un roman surprenant et laissez-vous emporter par la curieuse histoire d'Alinda qui découvre un autre monde et, surtout, qui est elle est vraiment. EXTRAIT Ce jour-là, je me lève, comme tous les autres matins, seule. Steven m’a confié son retard de quelques jours, la veille au téléphone. Londres, que peut-il bien régler comme affaires là-bas ? Je me douche, il fait très chaud, ma chevelure dégouline de transpiration. Mon corps bronzé, grâce à d’inlassables baignades et siestes au soleil, sue sans répit, une journée d’été s’annonce. Je malaxe avec vigueur mes cheveux (mes doigts grattant bien tout mon crâne) et les lissant délicatement en penchant la tête de côté. Je me lave avec acharnement, je déteste transpirer. Je m’épile les aisselles, l’entrejambe et les jambes. J’attrape une grande serviette éponge (sentant bon la lessive) à mes côtés et l’enroule autour de mon corps. Je fais de même pour ma chevelure. Ce n’est pas la peine de la sécher, la chaleur s’en occupera. Je prends la pince à épiler qui se situe sur la tablette en pierre au-dessus de la vasque et vais à la chasse aux poils (Steven ne tardera pas à rentrer, il faut être parfaite, me répété-je). À PROPOS DE L'AUTEUR Adeline Léo est une personne solitaire qui se réfugie le plus souvent possible dans l'art. Mère de quatre enfants, elle vit entourée de son mari, de sa famille et de ses amis qui l'encouragent dans l'écriture. Cette romance est issue de son imagination débordante qui ne lui fait jamais défaut.
La Tour de Lille est le siège d’une grande administration régionale, dirigée par un futur ministre. Quand un chef de service est retrouvé mort dans l’ascenseur de la direction, une chape de plomb s’abat sur le personnel. La police est priée de clore rapidement le dossier et de conclure à un suicide, même si l’arme utilisée par le défunt est introuvable. S'il s'agissait d'un meurtre déguisé en suicide ? La découverte par la Cour des Comptes d'irrégularités dans l’attribution de fonds européens relance l'affaire. L'inspecteur Bernard réussit à poursuivre l'enquête malgré les pressions et le silence qui règne dans les bureaux de la Tour de Lille. Ce roman est inspiré de faits réels. EXTRAIT Tous les couloirs du bâtiment étaient sans fenêtre, distribuant de petits bureaux encombrés d’armoires, de poussières et de cadavres divers. Chacun et chacune semblaient s’évertuer à s’enfermer, scotchant des papiers aux fenêtres sans rideaux pour éviter le soleil, épinglant des photos de montagne blanche ou de lagon bleu et des dessins d’enfant pour se rappeler qu’un jour ils avaient existé, entassant des cartons, toujours des cartons, toujours plus haut sur des armoires métalliques, jusqu’à empêcher l’air de circuler et la lumière de pénétrer vers le couloir. Ils entendirent le claquement de la décharge électrique et se turent. Une deuxième fois, avec ce petit écho mou d’un corps qui s’arc-boute et retombe. L’entendaient-ils ou l’imaginaient-ils ? Cet évènement obscène au sein de leur monde éteint les avait soudainement hissés au rang de héros d’une série télévisée. Ils entendirent la troisième tentative de réanimation, puis le commentaire désabusé. « Allez, on remballe, c’est fini. » À PROPOS DE L'AUTEUR Né en 1953 à Boulogne-sur-Mer, Léo Lapointe est le nom de plume d’un expert international en affaires sociales. Après un doctorat consacré aux questions de politique sociale et de problématique de l’emploi, il partage sa vie entre la côte picarde où il est né, la Belgique où il réside et l’étranger où il a travaillé, notamment le Mexique, l’Algérie, le Chili et le Liban. Fortement engagé, c’est dans des associations à caractère social qu’il fait ses premières armes en tant qu’écrivain public. Défense des chômeurs, des immigrés, des réfugiés, des sans-logis… Léo Lapointe est sur tous les fronts. Ses premiers écrits sont autobiographiques et auto-justificatifs, une façon de se défendre contre les choses désagréables qui arrivent en temps de crise. C’est par la suite que l’auteur se tourne vers la fiction, et plus particulièrement le polar qui lui permet de garder une trame politique où flotte un léger parfum de corruption.
Dear Reader, we use the permissions associated with cookies to keep our website running smoothly and to provide you with personalized content that better meets your needs and ensure the best reading experience. At any time, you can change your permissions for the cookie settings below.
If you would like to learn more about our Cookie, you can click on Privacy Policy.