Le destin des amoureux

- Ses yeux, sa manière de parler, sa façon d'être, je ne pouvais rêver mieux. Ma copine: Hum... L'amoureuse mais tu es sûre qu'il ressent la même chose pour toi ? Revenons un peu en arrière. C'était une belle cérémonie. Des intervenants venaient au micro et passaient. Et moi, comme d'habitude, j'étais perdue dans mon monde, même en pleine festivité. Et quand je suis revenue à moi, me rappelant que j'étais dans une fête, j'avais la tête baissée . Je soulève le regard, et je lui perçois au micro. Sa voix qui me ramena à moi, coïncidé avec son regard, je sentais mon cœur vibrer. Boom, boom, boom... voilà tout ce que mon cœur laissait entendre. Je me suis perdue dans la tonalité de sa voix, avec comme seul repère, ses yeux. Comme il était beau... Je l'ai contemplé jusqu'à la fin de son intervention et je me demandais, quel nom à t-on bien pu donner à un être aussi merveilleux comme lui. La cérémonie continuait et moi, je venais de commencer un voyage au pays des amoureux. À la fin de la cérémonie, comme par magie, j'étais assise dans la salle, seule, toute seule, vu que j'étais quelqu'un de solitaire qui aimait bien rester à l'écart et vivre dans son petit monde. Quand j'entends une voix qui me dit :que peut faire une princesse seule ici pendant que les autres sont là à s'amuser. Vous allez me trouver dingue, mais c'était la même voix qui m'avait fait voyager lors de la cérémonie. Alors je me suis tournée, et je l'ai vu... Oui, c'était lui. Y a t-il un mot qui décrit la joie combinée avec la tristesse ajoutée à de la peur ? Non hein...? C'est qu'il n'y a alors pas un mot qui peut décrire ce que j'ai ressenti en ce moment. Je l'avais là, devant moi et il m'avait parlé... Comment vous l'expliquer, c'était vraiment lui. Je lui ai juste regardé, les mots me venaient pas et même lui pouvait savoir que j'étais intimidée par sa présence. Lui: Alors il hocha la tête et me redis, alors, elle s'appelle comment la demoiselle qui ne parle pas aux inconnus ? Moi: J'ai répondu, Maelan. Lui: D'accord, Princesse Maelan... Silence.... Lui: Sinon, moi c'est Leni, comme vous ne voulez pas me le demander et moi, je veux que vous le sachiez. Dans mon cœur, je faisais pression sur moi pour ne pas hurler. Mais au dehors, je semblais timide... Moi: heureuse de faire votre connaissance, Leni. Lui: Donc vous êtes vous aussi membre du... Moi: Oui, je suis la secrétaire administrative du notre. Lui: ah d'accord, donc on a encore trois jours à passer ensemble. J'espère que ça serait suffisant pour... Moi: Pour...? Lui: oh ! On m'appelle, on se reprend après, princesse Maelan. Les trois jours passèrent vite, mais étaient magiques. On se croisait dans les activités, on causait et tout se passait bien jusqu'à la veille des départ. Princesse Maelan, voilà comment il m'appelait tout au long du séjour. Ceux qui me connaissaient savaient que quelque chose avait changé en moi, même ceux qui me connaissaient pas pouvaient le remarquer. Tous les deux, on s'était rapproché comme si on se connaissait depuis toujours. Il m'arrivait quelque chose que j'avais jamais expérimenté. Rien que son nom me donnait de la joie. Et sa présence changeait tout. Mais la veille du départ fut pénible, car chacun devait retourner dans sa localité. Vais je encore le revoir ? Ne va t-il pas m'oublier ? Que se passera t-il après tout ça ? Et pouff... Le soleil se fait voir. Je pouvais voir les gens sortir avec leurs valises, et chacun rejoignait son bus. Je suis allée me prendre une place dans le bus et, très tôt, suis venue me mettre devant la salle de conférence, où tout avait commencé. Sacré coïncidence, lui aussi passait par là avec sa valise. Je pouvais le voir s'approcher de moi, et mon cœur était de plus en plus excité. Lui: Donc, tu veux pas rentrer dans ton bus... Moi: .... (silence totale qui disait plus que les mots) Lui: ... (à son tour) -Hum... (moi) Lui: t'inquiète princesse, on se reverra très bientôt. Aller...viens là (et il me sera fort) Moi: Leni... (le seul mot que j'ai pu laisser entendre) Lui: allons y ( il me raccompagna jusqu'au bus) qui pouvait le voir, voyait des larmes sur mes yeux. Je suis rentrée dans le bus, et m'asseoir. Mes amis commencèrent à me demander qu'est que tu as ? Et se répondaient entre eux même (il lui manque). Klekel... (mon téléphone qui vibre, c'était un message) - j'espère que la princesse est bien installée... - oui (j'ai directement su que c'était Leni car lui seul m'appelle comme ça) - tu me manques dejà, tu sais ? - comment le savoir vu que tu as préféré m'abandonné. - toi même tu sais que c'est indépendant de ma volonté, j'espère que je me ferai pas emprisonner pour avoir attristé la princesse? - je te laisse répondre par toi même. - je te promets que tu ne sentiras même pas que je ne suis pas physiquement avec toi, je laisserai mon téléphone allumé 24/24 pour toi... Je t'écrirai toute la journée et tu seras la dernière personne à qui je parlerai avant de fermer les yeux pour la nuit. - Hum... Tu me le promets ? - promis princesse. Cette promesse avait la valeur inestimable de toutes les valeurs et me rassurait. Arrivée à la maison, tout avait changé. J'avais quelqu'un à qui parler, avec qui m'amuser, ça chageait tout. -maman: Maelan, la personne à l'autre bout de l'écran, c'est qui ? - hum..., tu parles de qui ? - celle là avec qui tu passes toute la journée et la nuit par le biais de cet appareil. - Leni, juste une connaissance - une connaissance... Ayiwa( exclamation). Les journées étaient magiques, Leni était là avec moi, partout et à chaque seconde. Il est devenu mon confident, mon conseiller et tout ce qu'on peut imaginer. Ceux qui étaient avec nous pour le séjour s'étaient déjà mis dans la tête qu'on était déjà ensemble, mais non.... On savait tous les deux ce qu'on ressentait, mais comment entamer la relation, on le savait pas. Plus les jours passaient, plus le lien était fort. Passa un jour, s'en suivait un autre. Le temps suit son cours et le cœur s'attache encore plus. - Maelan, ton téléphone sonne... - allô, Mr le directeur, d'accord ! C'était le directeur de l'organisation dont je faisait partie. On m'informait que je devrai le remplacer dans une activité de trois jours encore dans une ville. J'etais toute joyeuse car je savais que Leni y serait. Le voyage était dans deux jours. Je me préparais avec joie car j'allais encore passer de temps avec Leni pour la deuxième fois de ma vie. Et six moi s c'étaient déjà écoulés depuis la première fois. - Allô, Maelan, t' es où, le bus va bientôt bouger ( c'était le chef de convoi) - Presqu'arrivée... Je me depêchais et maman m'a accompagné jusqu'au lieu de rendez-vous avec les autres convoyeurs. Le chemin fut long, car j'étais impatiente de le revoir. Mais on causait, comme d'habitude, au téléphone. - c'est ta valise ? - laisse moi la prendre. - ou est Gael ? Oh oui ! Nous sommes arrivés. Mais on cherchait encore le site de la rencontré. - Appelle ton chéri, il viendra te chercher et nous conduira en même temps... - Arrêtez, c'est pas mon chéri,jusqu'à quand je vais devoir vous le répéter ? - Hum... Ça sent de l'amour... - s'il vous plaît, silence le téléphone sonne... - Leni... Salut - hum, princesse, laisse moi deviner, vous êtes arrivés et je dois venir vous chercher. - oui, c'est ça, on ne sait pas où se trouve le site. -d'accord, dans dix minutes, je serai là bas. - ayiwa, les amoureux... (dit Gael, une collègue) -.... (toute rouge) - voilà monsieur l'amoureux ( dit Yaodine, une autre collègue) - pitié les filles... Et voilà Leni qui sort de la voiture, chaque pas qui le rapprochait de moi me faisait encore peur... - princesse, je suis désolé, il y a trop de choses à régler sur le site, j'étais débordé. - t'inquiète, Leni, on peut y aller ? Je voulais pas trop parler pour éviter les commentaires des filles en plus j'étais intimidée par sa présence. - oh, excusez moi, bonsoir à tous, allons y ! - Hum... ( c'est tout ce que les filles laissaient entendre en me regardant bizarrement) Leni est un membre haut placé de l'organisation pour laquelle nous travaillons, il fait parti du staff international. - bien installées, les filles ? - oui, ou bien Maelan ? - oui, ça va Les filles faisaient ça pour me provoquer. Arrivées sur le site, on s'est enregistré au secrétariat avant de rejoindre nos chambre. À peine laver et habiller que je reçois le message de Leni: Je suis sur balcon, tu peux sortir, princesse ? Je suis sortie et il était là, tout beau comme d'habitude. J'avais juste envie de sauter dans ses bras, lui dire à quel point il m'a manqué ? Mais comment faire ? Alors j'ai pris mon temperemment calme... - Salut Leni ! - hum princesse, tu m'as manqué... J'espère que t'es pas trop épuisée ? - non... - viens, on y va... Je l'ai suivi et on a marché rejoindre des gens qui étaiebt assis devant le secrétariat pour causer. On sait assis aussi mais on avait nos portables entrain de nous envoyer de SMS. - hum...qu'est ce que vous avez à vous écrire alors vous vous faites face ? Faites le nous savoir aussi, dis le secrétaire général. - oh non, ce sont des histoires d'amoureux, moi en tout cas, je veux pas savoir (répond un collègue) Alors, toute rouge, j'eteinds mon téléphone et le dépose sur les pieds. Et la causerie continuait quand sans nous en ré dre compte, on reprend les téléphones encore pour continuer avec les SMS... - vous deux là... Voilà la phrase qui nous a fait remarqué qu'on avait repris nos téléphones. J'avais honte et lui il me regardait en souriait... Peu de temps après, c'était l'heure de rejoindre les dortoirs. - bonne nuit princesse. - repose toi bien, Leni. Voilà les derniers mots sur lesquels, chacun avait regagné sa chambre. À peine dans ma chambre, je reçois le SMS de Leni. - le séjour sera merveilleux en ta compagnie. - Hum... Tu en es sûr ? - plus que sûr même. - si tu le dis. Bon... Allons y dodo now, une longue journée nous attend demain. - please, princesse, accorde moi quelques minutes encore. Et comme ça une causerie qui a duré jusqu'à ce que je m'en dors. Voilà la sonnerie de mon réveil qui me fait prendre conscience qu'il est 6h. Alors je me prends une douche rapide et m'habille car je devais être en salle à 7h30. Dès que j'ai franchi le seuil de la porte, c'est sur Leni que je tombe et mon cœur en pris un choc. Je suis vite reournée sur mes pas, pour me calmer et ensuite rentrer. Comme le plus grand des hasard, j'ai failli faire un accident avec Leni à l'entrée car lui aussi sortait. Alors il me chochota, t'es merveilleusement magnifique... J'en étais toute rouge. Je me suis précipitée pour me trouver une place au près de Gael. Qui commença à m'agacer. - t'es toute belle ou je t'aime, c'est laquelle de ces deux phrase qu'il t'a dit ? - Concentrons nous s' il te plaît la réunion à commencer. - ayiwa.... (exclamation) Les heures passèrent, s'en est suivi les jours et nous voilà à la veille des départs, comme d'habitude. Il est 22h,je suis dans ma chambre quand mon téléphone sonne. - oui Leni... - veux tu me retrouver dehors, princesse... - d'accord, j'arrive. Je suis sortie et il était là. Il prit ma main et on marchait. Arrivé au niveau d'un petit banc, il me fait m'asseoir tout en me tenant les mains. - si seulement je t'avais connu avant... Maelan. - que veux tu dire par là ? - j'ai que quelque chose à te dire, mais promets moi de ne pas le prendre en mal - parle s'il te plaît, Leni. - tu vas beaucoup me manquer( me dit-il après un petit silence) Au fond de moi, je savais que c'était pas ce qu'i' voulait dire et je me demande ce qui pouvait lui faire peur comme ça. - Leni, on sera toujours ensemble comme d'habitude, comme on l'a fait après l'autre séparation, ne t'inquiète pas... Il me serre les mains contre son cœur en me fixant. Je pouvais lire de la peur dans ses yeux. Mais que veut-il bien me dire ? Veut il officiellement me demander de sortir avec lui ? Ne veut il plus de moi ? Voilà les questions que je posais à mi. Cœur. Un bon moment de silence quand on a entendu son téléphone sonner. C'était le secrétaire qui nous convoquant pour une petite réunion, alors on s'est levé pour y participé. Dans la salle, tout ceux qui nous connaissaient pouvaient se rendre compte que quelque chose ne va pas, même ceux qui ne nous connaissaient pas.Les regards en disait plus. Dès que le mot de fin de la réunion fut prononcer, je me suis précipitée dans ma chambre. J'y suis rentrée au même moment que son appel. - oui... Si c'est pour me demander de sortir, je veux t'informer que j'ai sommeil. - princesse, calme toi, s'il te plaît. De quoi as tu peur ? - de toi, Leni, de ce que tu as à me dire. - donc tu veux pas attendre ce que j'ai à te dire ? - non... J'ai peur. - d'accord j'attendrai que tu sois calmée...Now,repose toi, tu en as besoin. -bonne nuit ! J'ai presque pas fermer les yeux car je cher hais des moyens pour ne pas le voir partir ou qu'il me dise au revoir. Et paff... J'ai vite fait pour aller régler les trucs du secrétariat à mon reveil et à 6h déjà, mes camarades et moi était au bord de la route pour prendre le bus. J'étais soulagée car on avait pu quitter le site et je n'allais pas le voir partir. Hélas, le bus prit un retard. On était arrêté, les autres membres du convois et moi quand j'entendis, princesse.. Mon cœur en est pris un choc car je reconnaissais la voix. - Leni, vous n'êtes pas encore parti ? Je dis ça car je voulais pas laisser apparaître quoi que ce soit. - non, je voulais te voir avant... - voilà notre bus qui vient d'arriver, je dois m'en aller. - je sais... Il m'a pris les mains en les serrant contre son cœur et dit et j'avais des larmes aux yeux - prends soin de toi pour moi, dit-il en me laissant partir. Ce fut le plus long voyage de ma vie et aussi le plus difficile car je voulais pas répondre ni ses appels, ni ses sms. Enfin, nous sommes arrivés et je suis à la maison. Il est déjà 22h,quand je suis dans mon lit et que je vois son appel entrer dans mon téléphone. Cette fois-ci, j'ai décidé de répondre une bonne fois... - bonsoir, Leni. - la princesse s'est enfin décidé à me répondre. - Hum... - Maelan, écoute moi s'il te plaît, et n'aies pas peur. Tu sais, ma famille veut que je me marie vu ma position dans la famille. Et je ne me suis vu avec personne que toi. Veux tu m'épouser ? - moi ? Et Clara ? Clara, s'est celle là avec qui Leni était quand je rentrais dans sa vie. - Elle s'est rendue compte que mon cœur n'était plus à elle. - Leni, l'engagement est sacré, tu le sais ? - oui, mais veux tu réellement que je me marie avec elle sachant que je ne l'aime plus ? Crois moi, elle sera plus malheureuse. - c'est vrai aussi... Cois moi, ça sera plus qu'une fierté pour moi d'être ta femme. - bien... J'attends toujours ma réponse. - oui, je le veux ( ces mots m'ont arracher des larmes) - je t'aime, tu sais ? - je t'aime aussi. -mais comment se passe la dotte chez vous ? - attends, je vais m'informer auprès de maman demain. - d'accord, princesse... Je t'aime. - bisou !!! Je n'arrivais pas à y croire, Leni venait de me proposer le mariage. La nuit paraissait longue car je devais parler à maman le lendemain... Je regarde ma montre, il est 3h:06. J'appelle ma copine.. - accouche... - tu ne deviner pas.... Je me marie. - attends, tu es sûre que tu seras heureuse avec lui vu que tu es dingue amoureuse de Leni, je ne te vois pas avec une autre personne... - oui, je te jure que je serai là plus heureuse... C'est Leni qui vient de me demander en mariage - Maelan, reprends-toi... Me dit elle avant de crier elle aussi un très bon coup. - Joyce, calme toi, c'est moi me marie pas toi... - je serai chez toi à 8h demain, tu as des choses à confesser, petite... - aller, biz.. J'ai pas fermé l'œil la nuit, et voilà,il est enfin 6h,maman est sortie de sa chambre. - bonjour maman !! - bonjour chérie, bien dodo ? - j'ai pas fermé les yeux... - pourquoi, tu es malades ? Ou c'est la fatigue ? Surtout après ce long voyage... Où t'étais encore au téléphone avec ton fantôme ( c'est le surnom que maman a donné à Leni) - parlant de lui mum... Comment on fait pour la dotte, chez nous. - la dotte ? - oui, mum, la dotte... Je veux dire, comment le fantôme doit faire s'il veut amener la dotte ? - donc il veut te marier ? - oui mum... - Maela, tu as été témoin de comment j'ai dû m'occuper de toi et tes frères et toute seule... - je sais mum... - je ne te dirai pas comment ça allait se passer si je n'étais pas stable sur tous les plans, surtout financier. - oui mum... - Attends d'être bien plus stable que tout ça, ensuite, on parlera de dotte. - mais maman, rien ne prouve que je vivrai la même chose que toi... Leni n'est pas comme les autres, il m'aime,me comprend et me soutient. - tu m'écouteras, si je suis encore ta mère... J'en ai fini. Je me suis precipitée dans ma chambre avant de succomber en larmes. Peu de temps après, j'attends quelqu'un taper à ma porte... - entrez... - heyi... La nouvelle mariée ne doit pas être triste si elle veut garder sa beauté pour le grand jour. - oui, mais celle qui ne va plus se marier, si... - qu'est ce qui t'arrive ? Hier t'étais joyeuse par ce que tu allais te marier et aujourd'hui tu ne le veux plus ? - c'est maman qui ne le veux plus... Et mes larmes ont continué le reste de l'histoire. - Maelan, toi même tu sais que ça ne serait pas facile avec tout ce que ta mère a vécu. Décroche d'abord cet appel ensuite on en parlera... C'était Leni. - bonjour princesse... - bonjour... -bien dormi ? - bien et toi ? - je trouve ta voix un peu bizarre, tu n'es toujours au lit ? - oui... (j'avais menti pour ne pas avoir à lui expliquer ce qui se passait) - je te laisse te reposer alors. Je t'aime. Mes larmes ne s'arrêtaient pas, surtout après avoir entendu Leni. Joyce est restée lâ, me regardant pleurer pendant plus d'une heure. On savait toutes les deux, que connaissant ma mère, il fallait pas insister. Mais comment le dire à Leni ? Après mûre réflexion, on en était venue à une résolution,expliuqer la situation â Leni. -allo, Leni... - oui bébé Mes larmes coulaient - on doit parler... - je t'écoute ! - toi même tu es déjà au courant de l'histoire de la famille ( il savait tout car je lui disait tout, il était mon confident depuis la première rencontre) - maman n'a pas accepté c'est ça ? - oui....( Et j'ai éclaté en sanglot). - calme toi chérie, elle a raison de te protéger vu tout ce que vous avez traversé... - mais je t'aime... - oui je sais, je t'aime aussi, c'est ce qu'on va lui faire comprendre. Je vais essayer de gérer la pression de ma famille le temps que ta mère accepte. On va s'en sortir... - je t'aime.. - moi aussi, princesse. Le jours passèrent et le temps suivait son cours... Une année, Leni est resté le même, et notre amour grandissait encore plus. Sa famille perda patience et la pression ne faisait que monter. Il m'en parlait et moi j'essayai de convaincre maman... Mais hélas ! On était pas dans la même ville, mais il venait me voir... Maman lui demandait d'attendre encore pour le mariage. Un soir, comme les autres, je suis venue du boulot, j'allume mon téléphone et je vois les appels en absence de Leni et un SMS qui me disait, fait moi signe dès que possible... Je lui ai rappelé sur le champ. Il m'a demandé quand est ce que je serai libre pour discuter sans derangement ? Dans une heure, juste le temps de me laver, manger et tout, lui ai je répondu. OK, je te rappelle dans une heure. Il est 19h, quand mon téléphone sonna... - chéri... - je t'aime... - je le sais et moi aussi. -princesse, je suis vraiment désolé... - d'accord, calme toi et dis moi ce qui se passe... - pardonne moi s'il te plaît... - Leni... Parle moi, s'il te plaît... - mes oncles étaient chez moi, depuis 13h jusqu'à 17h et voulaient que j'indexe quelqu'un... La pression était trop forte pour moi. J'ai directement compris ce qui s'était passé, les oncles à Leni allaient amener la dotte chez quelqu'un d'autre. - Leni, j'ai compris. - Maelan, je sais que tu ne le vois pas, mais je te jure sur ce que j'ai de plus cher au monde qemye je suis à genoux, les couds contre mon lit, et je te supplie de me pardonner. Tu demeurera celle que j'ai de tout mon cœur... -... ( je voyais juste le monde tombé sur moi) - Maelan, parle moi, je t'en supplie... Maelan, Maelan,... Dis quelque chose Maelan, je t'aime.... - je t'aime aussi Leni ! Et j'ai laissé le téléphone, n'étant plus consciente que l'appel n'était pas coupé,j'ai laissé un bon coup de cris... Ce cris qui a rassemblé toute la famille dans ma chambre. -maman, pourquoi tu m'as fait ça ? -Leni.... Je veux mourir... Voilà les seuls mots que je pouvais prononcer. Ma mère était en larme, voyant mon état mais tenait ferme car pour elle, s'était la seule manière de me protéger. Mes frères me tenaient de peur que je ne fasse quelque chose de regratable. C'etait le deuil total... Ni ma mère, ni moi n'avons fermé les yeux, et mes frères non plus. Le temps passa, et le deuil continuait. Leni m'appelait, mais un simple mot nous faisait pleurer tous les deux. Il étai fiancé à son ex... Et le mariage s'approchait. Je demeurai sa confidente et lui mon meilleur... Mais tout était bizarre.