Un puzzle d'amour

Il arrive un jour où vous aimez quelqu'un sans savoir pourquoi. C'est le jour où votre cœur choisit de décider à la place de votre tête. Il n'est pas forcément votre idéal sur tous les points. Mais vous l'aimez parce que votre cœur vous dit de l'aimer. Le reste, ça ne le regarde pas. Et à ce moment, les mots ne suffisent plus. Vous l'aimez et c'est tout... Je n'avais pas choisi d'être qui j'étais. Mais la personne que je suis devenue après ce drame me rendait tellement malheureuse et faisait que la famille de la personne dont j' étais amoureuse ne voulait pas nous voir ensemble. Et oui... Je n' avais pas cherché à être qui je suis. Mais lui il m'aimait tel que j'étais. Même si sa famille était contre. Ezio etait le fils d' un grand entrepreneur du pays. Il est aussi son unique enfant, ce qui veut dire qu'il est son héritier. Il avait de plus grand projet pour lui et investissait grandement dans son avenir. Chaque détail de sa vie était étudié dans les moindres petits détails. Et tout était programmé pour lui. Moi, je venais tout juste de fêter mes 14 ans. Mon père également est un grand entrepreneur du pays. Ce qui veut dire qu'il est normalement un concurrent du père de Ezio. Les deux avaient une rivalité qui n'était comparable à aucune autre. C'était rivalité se faisait sentir dans les décisions qui étaient même propres à leur famille. Nous frequentions la même école mais on était même pas sensé nous dire un simple bonjour. Même avec tout ça, on s'aimait à la folie. Ma mère nous a toujours soutenu dans cet amour. Mais elle se disait juste que c'était un amour d'enfance qui finira par disparaître avec l'âge. L'opposition de sa famille était un réel défi pour nous. En plus, on était très jeune pour nous opposés. Ce genre de discussion avait l' habitude de se passer entre lui et son père. Lui: papa, je veux tout simplement que tu essaies de me comprendre. Je l'aime de tout mon cœur.. Son père: qu'est-ce que tu sais de l'amour ? Tu es encore jeune. Tout ce que tu as à faire maintenant c'est d'étudier. N'oublie pas qu'on investit une grande partie de nos revenus dans tes études. C'est pour que tu reviennes diriger l'entreprise. Nous n'avons pas un autre enfant, alors nous n'allons pas te laisser te gâcher la vie à cause de cette fille... lui: mais papa... Son père: la discussion est close. D'ailleurs on te fait quitter le pays dans un mois... Ça ne pouvait être pire, voilà que ses parents prévoyent de lui faire quitter le pays. Tout ça pour qu'on soit separé parce qu'ils ne voulaient pas d'une fille déjà violée pour leur fils. On ne pouvait pas assez se battre parce qu'on avait même pas 18 ans. Lui il en avait 17 et moi 14. Ce fut le début d'un combat qui ne disait pas son nom... Il devait se cacher à chaque fois qu'il voulait me voir. Car à chaque fois qu'on lui voyait avec moi il était privé de son argent de poche pendant une semaine. Et il était privé de sortie. On faisait tout pour qu'il s'empêche de me voir. Mais c'était sans résultats. Aujourd'hui encore, le voilà qui s'est caché pour venir me voir chez nous. Maman: ton chéri est là... Avec le sourire jusqu'aux oreilles, j'ai répondu: - dis-lui que j'arrive tout de suite... Je me suis vite arrangée le visage au miroir avant de tirer ma petite robe pour corriger les incorrections. Et je suis sortie. Ma mère me soutennait beaucoup dans cette relation. Elle savait que les parents de Ezio n'étaient pas d'accord. Alors s'il venait à la maison pour me voir, maman nous faisait rentrer dans le débarras. Et on avait tout notre temps. Mais elle nous avait interdit de nous toucher. Mon père n'était pas au courant. Bon, il pensait qu'on avait arrêté de se voir. Quand le père de Ezio l' avait très grave menacé... En fait nos deux pères travailler dans une même dans le. Même . Et ils ne s'attendaient pas du tout. Leur rivalité n'était cachée à personne. Je me dis même que c'était à cause de ça qu'ils ne voulaient pas voir leur deux enfants ensemble. Cette histoire de viol n'est venue qu'accentuer le problème. On est rentré dans le debarras. Lui: je dois te dire quelque chose, mais je ne sais pas comment.. Moi: vas-y, je m'attends déjà à tout. Alors dis-moi, je continue cette relation en cachette, c'est bien ça ? Lui: comment est-ce que tu peux même penser ça ? Ashley, mon amour pour toi ne changera jamais. Tu es la seule et l'unique femme que je vais aimer tout le reste de ma vie. Alors il ne faut même pas penser une seconde que je vais me lasser de toi. Il disait ça avec des larmes aux yeux. C'était encore difficile de tenir les propos comme ça avec tout ce qu'on traversait. Moi: je suis vraiment désolée. Je ne sais vraiment pas quoi penser de tout ça et j'ai quotidiennement peur de te perdre. Lui: tu ne vas jamais me perdre. Peut-être qu'on peut être physiquement séparé. Mais nos cœurs seront à jamais liés. Je te le promets... C'était une promesse qu'il allait tenir, même au prix de sa vie. Moi: alors dis-moi, qu'est-ce que tu voulais me dire ? Lui: ce soir, mon père m'a annoncé qu'il va m'envoyer dans un autre pays pour continuer mes études... Moi: pour t'éloigner de moi. Même si tu me le dis pas, je sais que c'est la seule et unique raison de ton départ Lui: écoute-moi, peu importe ce que mes parents peuvent penser de toi, cela ne va rien changer à mon amour pour toi. Je t'aime Ashley, je t'aime comme tu ne peux même pas l'imaginer... Moi: c'est bien ça le problème. Peut-être que tes parents ont raison. Tu as un très bel avenir devant toi. Peut-être que je ne suis pas bon pour toi comme ils le disent. Ne sois pas têtu... Lui: qu'est-ce que tu me sors comme ça ? Est-ce que tu as perdu la tête ? Ne me répète plus jamais ce que tu viens de dire. Si je ne peux pas être avec toi, c'est qu' aucune autre femme ne mérite que je sois avec elle. Mon cœur ne pourra même pas aimer une autre. Tu as déjà pris toute la place Je n'avais plus de mots. Je suis juste restée silencieuse face à tous ces mots qu'il venait de me dire. Et il était plus que sincère. Il n'a jamais hésité à me témoigner son amour. Il est même allé jusqu'à tenir tête à ses parents. Je me suis juste j'étais dans ses bras. Là il m'a serré très fort. Juste avant de filer en douce pour rentrer chez lui. Malheureusement, son père l'avait surpris en train de rentrer à la maison. Son père: tiens tiens... Voilà notre légendaire amoureux qui fait son entrée spectaculaire dans la maison. Est-ce que monsieur pourrait me dire d'où est-ce qu'il vient ? Il est resté là sans placer ne serait-ce qu'un simple mot. Déjà son père avait la réponse à sa question. C'était juste pour empirer les choses. Son père: comme tu ne veux pas me le dire, je vais alors être obligé de tirer ma petite conclusion moi-même... Lui: s'il te plaît papa, elle n'a rien à voir avec cette histoire. Laisse-la en dehors de tout ça que je t'en supplie. Son père: bien sûr que je vais la laisser en dehors de tout ça. Mais pour qui est-ce que tu me prends ? Je ne suis pas le plus méchant d'une histoire. D'ailleurs je suis tellement gentil que je vais gentiment te dire que ton départ pour l' Australie est prévu dans 2 semaines. N'est-ce pas trop gentil ça ? Il disait ça d'une voix autoritaire. Et tout calme, Ezio va lui répondre : - je me demande comment est-ce que tu peux être aveugle à ce point. Ne vois tu pas que je serai malheureux sans elle ? Son père: mon fils, viendra ce jour où tu nous diras merci, à ta mère et à moi pour tout ce que nous venons de faire tout de suite. Pour le moment, tu es encore un enfant.. Lui: et c'est cet enfant qui te dit qu'il ne bougera pas. Si tu veux je peux laisser ta maison et aller me débrouiller ailleurs. Mais je ne vais jamais la laisser... Son père lui dit alors d'un ton menaçant : - c' est soit ça, soit tu renonces à tout ton héritage et tout ce qui te revient de droit ici chez moi en tant que mon fils. Je te laisse jusqu'à demain soir pour réfléchir à ce que tu veux réellement. Soit elle, soit nous tes parents. C'était sa dernière phrase avant d'aller se coucher. Ce fut la nuit la plus terrible pour notre existence. Il devait choisir entre moi et son avenir, quelque chose qui n'était pas du tout facile. Son téléphone était également mis sous surveillance. Du coup je ne pouvais pas directement m'appeler. " le lendemain" Sachant bien que son père allait lui faire surveiller pour s'assurer qu'il ne venait pas me voir. Il gardait bien son calme. Tout doucement, il est descendu de l'escalier pour venir prendre son petit-déjeuner comme d'habitude. Il ne laissait même pas apparaître un seul signe d'inquiétude. Il était à table avec ses parents quand son père va encore prendre la parole: - j'espère que tu as bien dormi ? Lui: prix dieu merci. Ce fut une nuit comme toutes les autres... Son père: et quelle est la décision que tu as prise finalement ? Il voulait me voir avant de prendre une quelconque décision. Alors il va indirectement répondre à son père: - tu m'as dit que tu me laissais jusqu'à aujourd'hui pour te dire la décision que j'ai prise. Et aujourd'hui j'ai pas encore terminé... Son père: d'accord... Si tu te crois être le plus malin, je pourrais encore me patienter jusqu'à la fin de la journée. Une fois le déjeuner terminé, son père sera à son entreprise. Et lui il devrait rester à la maison. Comme on peut le deviner, il va se chercher un moyen pour venir me voir. Et ça avant que j'aimais à l'école... J'étais encore sur le chemin pour aller prendre mon bus quand je l'ai apperçu. - mon cœur, qu'est-ce que tu fais par ici... Lui: comment est-ce que tu vas, j'espère que tu as bien dormi... Moi: maintenant que je te vois, tout va bien. Tu sais qu'on ne devrait pas s'afficher comme ça. Ton père ou quelqu'un qui travaille pour lui peut nous voir à tout moment... Lui: ce n'est pas le plus important pour le moment. S'il te plaît, est-ce qu'on peut parler ? J'avais cours et je devais me rendre à l'école. D'habitude j'y vais avec ma voiture mais aujourd'hui maman l'a pris pour aller faire des courses. C'est pour cela que je' étais sur le chemin pour aller prendre un bus. Mais ce qu'il avait à me dire était encore plus important que mes cours à mes yeux. Moi: j'ai cours, normalement... Si ça ne peut pas attendre on peut en discuter maintenant. Lui: je sais que tes cours sont aussi importants. Mais ce dont je veux te parler l'est aussi, alors... Moi: d'accord, on peut aller chez nous si tu veux... Mon père n'était pas à la maison, lui aussi était aller au boulot. Arrivé chez nous, va s'installer au salon et il a commencé à me parler. Lui: mon départ pour l' Australie a été ramené à deux semaines... Moi: quoi ? Tu veux dire dans 15 jours.. Lui: oui, c'est bien ça. Soit j'accepte ce voyage soit je renonce à tout ce qui me devient ne te rend en tant que héritier de la famille. Moi, : je ne sais vraiment pas quoi faire de tout ça. Mais moi, à mon avis tu dois accepter ce voyage. Ton avenir est un jeu. Lui: et toi, si je dois aller en chine c'est pour 5 ans au minimum. Comment est-ce que je vais faire ? Moi: ne t'inquiète pas pour moi. Je t'attendrai même 1000 ans si il faut. Mais pour le moment, il faut juste trouver un moyen de garantir ton avenir. Le vrai amour mais le bonheur de l'autre avant son propre bonheur. Alors comment est-ce que je pourrais dire que je t'aime si je suis la source de tous tes problèmes. Je veux vraiment que cette guerre rentre toi et ton père s'arrête. Alors si ce voyage en est la solution, s'il te plaît, fais-le pour moi et vas-y. Lui: il n'a pas idée de la personne que tu es. Sinon il se rendra compte qu'il est le plus chanceux de t'avoir comme belle fille. Moi: ne t'inquiète pas, laisse le temps de faire son travail. Et toi également il faut faire le tien. Lui : écoute-moi, on va se battre ensemble et tu verras qu'on va s'en sortir. ashley: écoute, je t'aime plus que tout et dieu m'en est témoin. Mais si mon amour doit être la chose qui te détruit la vie et gâcher ton avenir, je préfère y renoncer. Abriel: mais qu'est-ce que tu es en train de me dire ? On va se battre et ensemble on va s'en sortir... Moi: comment est-ce que tu veux qu'on se batte ? Tu n'as pas entendu ton père ? Il va te couper les vivres, mettre fin à ta boussole scolaire et effacer ton nom du testament. Tu veux qu'on se batte contre qui au juste ? Pas contre ta famille... Je ne ferai jamais ça. Lui : ils finiront par comprendre que je t'aime pour de vrai. Moi: mais pour le moment, ils comprennent pas encore, alors s'il te plaît, je veux qu'on garde nos distances. Ils veulent que tu ailles étudier en australie. Alors il faut y aller. Construis-toi un avenir. Ne t'inquiète pas pour moi. Si nous sommes vraiment destinés à être ensemble, rien ne pourra l'empêcher. Mais s'il te plaît, ne gâche pas ton avenir à cause de moi. Lui : et notre amour, qu'est-ce que tu en fais ? Moi: le véritable amour cherche toujours le bonheur de notre avant le sien. Quel genre d'amour et aurai- je pour toi si jamais je laisse ta famille s'éloigner de toi à cause de moi ? Lui: je crois en notre amour. Et je sais qu'on finira par se retrouver... Moi: écoute, je t'aime plus que tout et dieu m'en est témoin. Mais si mon amour doit être la chose qui te détruit la vie et gâcher ton avenir, je préfère y renoncer. Je voulais le voir être heureux avec un avenir assuré. Je n'avais rien à lui offrir. Il ne voulait pas comprendre grande chose. Tout ce que lui, il voulait, c'était de rester avec moi. Il ne calculair plus le pour et le contre.. Lui: peut-être que je peux me trouver un petit travail prendre une maison. Ça ne me dit pas trop s'il m' efface de son testament. Tout ce que je sais, cette ma vie n'aura pas de sens sans toi. Et si je vais là-bas sans toi, je ne pourrai même pas me concentrer sur mes études... Je venais d'avoir une idée que je vais lui dire: Moi: dis-toi que tu le fais pour nous deux. Tu le fais pour nous assurer, à tous les deux, un avenir meilleur. Alors il faut y aller et je t'attendrai quand il faudra. En programme garder le contact par téléphone. Comme ça quand tu finiras, tu pourras te charger un autre travail. En ce moment, bénéficier de quelque chose de la part de ton père ou pas ne te servira grande chose. Tu pourras alors te débrouiller seul. Et moi également je pourrais apporter quelque chose. Alors on se mariera avec ou sans l'accord de nos parents. Mais en ce moment, nous avons encore besoin d' eux. Alors faisons semblant comme si on fera tout ce qu'ils veulent. Lui : d'accord. Les premiers mois de médecine un message chaque jour. Et moi je ferai autant. Aussi tu devrais m'appeler en cas de problème. S'il te plaît ne me cache rien. Ne sais même pas de me mentir pour me protéger ou quoi que ce soit. Je veux être au courant de tout comme si je t'ai présent, ici, avec toi. Tu m'enverras aussi des photos chaque soir. Bosser tu m'enverras tes notes de devoirs pour que je puisse t'aider... Moi: calme-toi s'il te plaît. Tout va bien se passer. Ce n'est que pour 5 ans. Tu verras les seins avant passer comme 5 minutes... En pleurait tous les deux. On se disait des choses pour se consoler, mais en réalité on savait que ça n'allait pas être quelque chose de facile. C'est là qu'il va faire sortir le bracelet qu'il avait à son poignet gauche, en me disant : - tiens, je ne vais pas te demander de toujours le garder sur ton poignet car quelque chose pourrait l'arriver. Mais je veux que tu le gardes avec toi jusqu'à mon retour. S'il te plaît. À chaque fois que tu auras besoin de mes sentir, serre le fort contre toi. Il a mon odeur tu sais. S'il te plaît, prends soin de toi. Ne sors pas tout le temps de la maison... Protège-toi bien. Je ne serai pas là pour veiller sur toi comme je le fais d'habitude. Mais je prierai chaque jour pour toi. Je n'avais plus le courage d'aller en groupe. Tout s'est mélangé dans ma tête. Peut-être que l'amour était trop beau mon jeune âge, comme ma mère ne s'arrêtait pas de me le dire. Mais je sentais qu'une partie de moi était en train de disparaître. Je ne pourrai jamais être au complet sans Ezio. Déjà qu'il n'est pas parti, je sens déjà le trop vite qu'il laisse derrière lui. Ce qui m'inquiétait encore plus, c'était que rien n' était sûr. Ce n'était même pas sûr qu'il revient. Avec le genre de papa qu'il a. Son père était capable de tout juste pour l'éloigner de moi. C'est 2 semaines ont été les pires semaines de notre existence. On essayait de se voir par tous les moyens. Ça pouvait se sentir à la maison que je n'allais pas du tout bien. Je vais arriver même pas à manger. Je ne faisais que pleurer et me le monter sur mon sort. Je me demandais pourquoi est-ce que tout cela n'arrivait qu' à moi. " le viol" C'était un soir comme les autres. Je devais quitter la ville pour le devenir à la maison. Je devrais rejoindre ma mère quelque part et comme ça on allait continuer à la maison ensemble. Le marché tout calmement au bord du groudon juste pour voir un taxi qui passe. Et brusquement j'entends une voix: - où est-ce que je suis belle princesse se rends comme ça. Moi: bonsoir monsieur, qu'est-ce que je peux faire pour vous ? C'était un monsieur qui faisait son sport du soir. Juste en le voyant, je pouvais me douter de tout sauf ce qui va se passer. Il était plus vieux que moi. Et il me donner une assurance. En fait je ne pouvais même pas me douter qu'il allait me v****r. Là où on se trouvait était même devant sa maison. Alors il va continuer à me parler pour me mettre en confiance. Lui: dis-moi s'il te plaît, qu'est-ce que tu fais en train de marcher à pied ? J'ai juste pris un coup de peur sur le champ. Alors j'évite déplacer mon sac de mon côté droit à mon côté gauche. Parce qu'il se tenait à mon côté droit. Je m'étais dit que ça pouvait être quelqu'un qui allait me voler, pas v****r. Alors en riant, il m'a dit: - oh non, je ne vais pas te voler ton sac. Quand même toi aussi. À mon âge je vais me mettre à te voler toi ? Je ne lui ai pas répondu. J'agrandissais mais pas juste pour vite quitter devant lui. Et plus j'avançais plus lui aussi il avançait avec moi. Moi: qu'est-ce que vous me voulez, au juste ? Lui enfin, elle se décide à me parler. Je veux juste t'accompagner là où tu pars. Tu m'as dit que tu partais dans ce sens non? Attends je vais rentrer ici c'est chez moi tout juste. Je vais rentrer, prendre la voiture et je te dépose avant de continuer mon chemin. Jusqu'à présent, la seule chose que je n'ai pas pardonné dans cette histoire, c'est naïveté. J'ai tellement été naïve que je n'ai pas douté une seconde que ça pouvait être un piège. Je me suis juste dit que ça va me raccourcir le chemin. Et en plus on était devant sa maison et il est rentré devant moi pour prendre la voiture. En fait tous mes faisait lui faire confiance. Alors qu'en réalité, il fallait que je me méfie. Comme il me l'a demandé, je l'ai attendu devant la porte. Il est rentré et est sorti avec sa voiture. Lui: monte... Me disait-il. Et je suis montée. À ma grande surprise, il a pris le sens contraire du chemin qu'on devait prendre. Bon je me suis dit que c'est parce qu'il va régler un petit truc devant et ensuite il va retourner pour qu'on reprenne le bon chemin. Je suis naïve. On a continué sur ce maintenant environ 2 à 3 minutes. Et j'ai fini par lui demander. Mo mais on devait aller ou l'autre côté... Alors pourquoi est-ce que c'est ce chemin qui vous prennez ? Lui: bon je vais finir par aller te déposer là où tu dois aller. Mais avant ça on doit régler le petit truc... Le petit truc, mais quel genre de petit truc est-ce qu'il me parle ? Moi: vous me parlez de quel petit truc ? Lui: ne fais pas la naïve. Je sais très bien que tu comprends parfaitement ce que je veux dire... Me dit il en faisant des clin d'œil. Moi: je suis sérieuse. Dites-moi de quelle petit truc est-ce que vous êtes en train de parler. Il n'a pas placé un seul mot. Le côté de mon vitre était monté. Alors je l'ai fait descendre. Et de son côté, il l'a fait remonter. Je l'ai fait descendre à nouveau. Et lui il l'a fait remonter. C'est là que j'ai compris que ça devenait un véritable danger pour moi. Peut-être que j'aurais dû ouvrir la porte et me jeter pour que les gens comprennent ce qui se passe dans la voiture. Mais j'ai eu peur. Je ne savais pas de quoi il était capable. Alors que je me disais à moi-même: - il faut que je garde mon sang-froid. Peut-être que c'est un psychopathe. Et si jamais il s'est doute que j'ai pas envie de faire ce que lui il veut, il pourrait peut-être me faire du mal. En plus le vitre est fumé et peut-être que la voiture est insonorisée. Alors même si je cris, il vient ne me prouve que quelqu'un pourra m'entendre. Je disais ça et j'essayais de me calmer moi-même. Ensuite j'ai gardé mon silence et je lui ai laissé conduire la voiture dans la direction de son choix. Quelques mètres après, il a viré et se garer qu'elle veut pas. Quand on est sorti de la voiture, je pouvais encore trier ou encore essayer de m'enfuir. Mets la rue était presque vide. Il n'y avait qu'un groupe de jeunes garçons qui étaient assis. Et il les a salué. Alors je me suis dit que si jamais j'essayais de fuir, peut-être qu'il est un habitué du coin et qui tout le monde le connaissait. Un particulier, le groupe de jeune garçon qui est assis là-bas. Du coup, les choses pourraient mal se tourner. Et il allait peut-être pouvoir me faire plus de mal qu'il en avait envie. Alors je lui ai suivi comme une bête qui s'en va à l'abattoir. Nous sommes rentrés dans le motel. Tous mes montrer qu'il était un habitué du coin. Il était très familier avec le gérant. Il s'est approché du comptoir et dis tout simplement: - comme d'habitude. Ces derniers lui ont donné une clé. Et il me dit: - suis-moi.. Je l'ai suivi et nous sommes allés dans ma chambre. Une fois dans la chambre, la peur pouvait se sentir, même si je sais de la contrôler. Il me dit alors: - calme-toi. Tout va bien se passer.. Moi: pourquoi est-ce que vous faites ça ? Espace que vous n'avez pas de femme ? Lui: bien sûr que j'ai une femme. Mais depuis que je vous ai vu passer, je me suis dit qu'il fallait que je vous aille aujourd'hui. Qu'est-ce qu'il me sort là ? Je ne l'avais jamais vu ce n'est aujourd'hui. Alors je vais lui demander. Moi: comment est-ce que vous pouvez temps désirer quelqu'un que vous n'avez jamais vu.. Lui : C'est toi qui pense que je ne t'ai jamais vu. Cela fait plus de 2 mois que je t'observe tu passes par là souvent. N'est-ce pas ? C'est là que j'ai compris que c'était un psychopathe qui avait bien préparé son coup. Moi: d'accord, faites ce que vous avez à faire et quittons ici rapidement. Lui: je ne vais pas du tout te faire du mal. Je viens de te dire. Alors essaie de te calmer s'il te plaît Moi: vous ne comptez pas me faire du mal ? C'est déjà une bonne nouvelle. Sinon je pense que le mal est déjà fait. Je n'ai aucune envie de coucher avec vous et vous le savez très bien. Lui: je ne fait que mon travail. Calmez-vous tout va très bien vite se passer. Comme je viens de voulais dire. Moi: donc vous êtes payé pour ça. C'est bien, je me dis que ça vous fait déjà un très bon job... Il m'a juste regardé avant de rentrer dans les toilettes. Ensuite il est sorti tout nu. Je n'oublierai jamais ce jour. J'en ai été traumatisé. Je n'avais que 13 ans. C'est le pire psychopathe du monde entier que j'ai rencontré. Il était calme. Et il s'approchait de moi tout doucement. Mon cœur battait très fort. Et il a fait ce qu'il avait à faire pour de vrai. Quand il a fini, le drap était tout taché de sang. J' étais perdue dans le monde. Je ne savais même pas quoi faire. J'étais choquée. C'est là qu'il a sorti son téléphone puis appeler mon père. - venez chercher votre fille, je vous enverrai la localisation. C'était avec mon propre téléphone et qu'il avait fait ça. Et il a envoyé la localisation à mon père. On savait quand même qu'il avait été payé pour faire ça. Et depuis ce jour papa c'est toujours dit que c'était le père de Ezio. Je ne fais pas d'accord avec lui. Et ma mère non plus n'était pas d'accord. Son père pouvait être un démon, mais il n'allait pas aller jusqu'à payer quelqu'un pour me v****r. Il savait que son fils m'aimait à la folie. Environ une heure de temps déjà mon père était au motel. J'étais là tout en sang. Avec ma mère, ils m'ont directement amené à l'hôpital. Seat le docteur montesquieu des choses et ont pu rétablir mon état de santé. Mais qu'il a enlevé un mois ce jour, plus rien ne pourrait le remplacer. J' étais dégoûté de moi-même. Tu ne pouvais m'asseoir et faire même 10 minutes sans me mettre à pleurer. J'étais vraiment éloigné du monde entier... Mais ce n'était pas encore la pire des choses qui m'entendait. On s'est réveillé le lendemain pour trouver que la nouvelle était déjà publiée dans les journaux. C'est quelque chose qui a vraiment détruit mon père. La personne qui a fait ça savait que pour détruire mon père totalement il fallait toucher à son enfant. Il avait bien réussi son coup, le salopard... Mon père vient de se lever, et comme d'habitude, la première chose qu'il fait quand il quitte son lit après avoir prié, c'est d'aller sur le net et voir ce qui se passe. - et en me disant des nouvelles du pays seulement, il est tombé la nouvelle qui faisait la une des informations. On ne pourra jamais décrire avec exactitude son visage de chez quand il a vu la nouvelle. Et directement il est venu dans ma chambre, j'avais dormi avec ma mère. Lui: toc toc... Maman : oui entre... On savait que c'était lui, parce que mon grand frère n'était pas à la maison. Lui: comment est-ce qu'elle va ? Disait- il en s'adressant à ma mère. Maman : elle n'a presque pas dormi toute la nuit. Elle se levait en sursaut. Je pense qu'il faudra qu'on amène chez un plus que l'homme demain, où aujourd'hui même s'il le faut. Papa: d'accord, s'il te plaît je dois te parler... Et il faisait un signe qui montrait à ma mère qu'il fallait qu'il fallait que la discussion se fasse en dehors de ma chambre. Maman aussi est sortie et les deux étaient juste là devant ma porte pour discuter. Papa : est-ce que tu as lu les informations sur le matin ? Maman: non... Qu'est-ce qui se passe ? Il a juste sorti son téléphone et a montré dès qu'il avait lu à ma mère. Elle a failli crier quand mon père a mis sa main sur sa bouche pour l'empêcher. Il ne fallait pas du tout que je ne réveille par son cri. C'était un double choc pour maman. Ça l'était même pour mon père. Et il sait jouer de savoir qui était derrière cette histoire. Jusqu'à présent, cette histoire est le point sensible de ma famille. La vie a été injuste.