PERFECT ADDICTION

NOTE DE L’AUTEUR : Ceci est le tom 2 de perfect passion. OEUVRE SOUS PROTECTION DES DROIT D’AUTEUR COPYRIGHT © SYLVIANNA ASSI Chapitre 1 J’extirpe mon téléphone de la poche arrière de mon jean en évitant soigneusement de participer à leur conversation , Ben le remarque et m’arrache mon téléphone des mains , puis reprends le cours de la discussion comme si de rien était. Je souffle en le suppliant du regard de me rendre mon dû, mais buté comme il est il ne m’écoute pas , et m’évite soigneusement du regard. — s’il te plaît- — répond d’abord à la question que je t’ai posé, me coupe t-il avec un sourire pervers scotché au lèvres. Si Ben n’étais pas gay je jurerai qu’il est amoureux de moi , j’ai envie de leur rire au nez parce qu’ils commencent sérieusement à m’agacer mais je répond à la place. — dans une chambre , je ne suis pas si audacieuse pour le faire dans ce genre d’endroit. — sérieusement Austin , je suis déçu , pouffe t-il , attend tu est vraiment sérieuse ? — t’es entrain de nous dire que l’endroit le plus fou ou t’es fait l’amour c’est dans une chambre ?! Renchérir Anna les yeux grand écarquillés comme si c’était grave. — elle n’es pas si coincée que ça , je vous assure, commence Leila. — allé tu peu faire mieux Austin, faire nous remonter dans ton estime. Je sourie puis secoue nonchalamment la tête, il est hors de question que ses mots sortent de ma bouche. — okay je vous balance tout , elle a genre fait une branlette à son ex dans sa voiture... pire encore devant sa maison, vous vous imaginez si les parents de- — c’est bon Leila, on a compris, l’interrompait-je les yeux ronds. — ho m***e , Cody c’est toi qui n’a rien dans ton froc , Mia est remonté dans mon estime, se moque t-il . Cody roule des yeux puis le charrie en retour : — ce gars est puceau depuis sa naissance, même ses lèvres son vierge. Je pouffe de rire en m’attrapant le ventre avant d’ajouter de l’huile sur le feu : — je me disais bien que Ducan avais une tête de puceau. Il ne faut pas longtemps pour que Leila éclate de rire, mon amie s’esclaffe en avoir les larmes aux yeux, s’en est trop pour Ben Ducan , il se lève de sa chaise les sourcils froncer et les lèvres pincées . — à plus tard les loser , je ne rentre pas seul ce soir. — tu veux aller te faire dépuceler ? — vas te faire voir Miller . Ses mots sortent de sa bouche avec nonchalance, et sans nous accorder un regard de plus Ben s’éclipse. — vous l’avez fait fuir, nous reproche Anna . — fallait bien que quelqu’un le fasse, répondis t-il d’un ton moqueur. — je vais au toilettes, les informais-je . Je siffle mon short avant de me relever d’un bond de ma chaise , je titube un peu pour ensuite trouver mon équilibre . La musique bourdonne dans mes oreilles, et j’essaye de me frayé un chemin parmi la foule d’hommes qui jonche le salon , et c’est avec difficulté que j’y arrive. Une fête d’étudiant, tu parle ! J’ai quitté Friday harbour il y’a trois jours, et est emménager à mon dortoir. tout semblait être parfait, avant que ma colocataire la g***e fait son apparition. malheureusement pour moi j’ai eu droit à une photocopie de Barbie , et un caractère de g***e en plus , comme colocataire . Je monte les marche d’escalier, et trouve sans difficulté la salle de bain, j’entre précipitamment à l’intérieur et referme la porte derrière moi . Quand je me retourne , je manque de faire un arrêt cardiaque en me rendant compte qu’il ya quelqu’un dans la salle de bain avec moi . Assis sur le lavabo avec un joint en main , l’homme à la capuche , articule la tête baissée : — on ne t’a jamais appris à frapper au porte ? Mon cœur rate un battement devant ce timbre de voix familier, je fronce les sourcils en émettant incertaine : — Jackson ? Il lève nonchalamment la tête, et la capuche glisse, me révélant ainsi son visage. De ses prunelles vert il m’observent sans aucune expression faciale, avant d’articuler en arborant un sourire en coin . — tien , Princesse prude . Ses cheveux de jais d’habitude couper court son maintenant mi-long et en pagaille...une boucle en croix lui pend à l’oreille droit , et sa nuque qui était autrefois vierge est parsemer d’un tatouage, en forme de serpent. Il se penche nonchalamment en avant, et ses cheveux de jais suivent le mouvement, de ses iris perçant il me scrute sans cesser d’arborer son sourire en coins. Je frissonne quand rapidement il descend du lavabo et se rapproche de moi ...vite trouve quelque chose à lui dit ! Tu a rêver de ce moment alors vas-y ne te dégonfle pas ! — je- — bonne soirée,princesse prude, murmure t-il froidement. Il rabat la capuche de son pull sur sa tête, puis me contourne pour s’en aller.