SOUS LA PLUIE

Debout face au miroir de la salle de bain, je me regarde, mon visage blanc comme de la porcelaine, mes yeux rouges à cause des larmes qui ont coulée la veille, et mes cheveux couper court qui ne donnais aucun style à mon visage, mon corps filiforme mais courbée par la douleur, est tout le mal-être qui pouvais ce voir a travers mon enveloppe corporel c'était de sa faute, de la faute de mon père, un homme lâche et sans cœur, il nous as toujours fait du mal à moi et à ma mère pour un rien, et nos soirée ce résumait toujours par des coups, des cris et enfin des larmes, mais aujourd'hui c’était le grand jour, car nous avions enfin décide de quitter cette maison, cette rue, cette ville où il ce trouvais, pour ne plus jamais le revoir, pour nous reconstruire, pour vivre, une première pour moi, car depuis ma naissance je n'ai connu que ce père arrogant et violant à cause des bouteilles d'alcools et de son amour pour l'argent. Il m’écœurais et me détruisait la vie. Ou plutôt pour mieux dire il me l'avait détruite ma vie car je sais que jamais je ne pourrais me débarrasser de toute les séquelles que j'avais au fond de moi et de tout ces traumatismes que j'avais subi par sa fautes. Je le haïssait.  Je finis de fermer ma valise après mettre longtemps observer face au miroir, et je par rejoindre ma tendre et douce mère qui faisait de même dans sa chambre, nous devions nous en allez dans une heure, avant qu'il ne rentre de son travaille et ne nous trouve. Elle me regarde, s'approche de moi et elle pose ces douces mains sur mon visage, Maman: oh ma chérie enfin nous allons quitter cette enfer Je la prend dans mes bras sans ne rien lui répondre, je l'aimais tellement et puis je regarde ce coquard sur son visage si doux et si sage que l'autre malade lui avait fait car elle avait une nouvelle fois essayer de prendre ma défense, cela me fendais le cœur, il n'avait cesser de la battre et elle, elle n'avais cesser de l'aimer, toute nos soirée était seulement animé par les coups, les cris et enfin des pleures, et ma mère avait toujours décider de patienter car elle ce disait qu'il changerais surement les promesses qui lui faisait le lendemain de chaque nouveau coup mais tout avait changer ce jour où il avait aussi essayer de lever sa main sur moi, et c'est à partir de ce moment que nous avions décidé et commencer a planifier notre départ vers une nouvelle aventure, une nouvelle vie et aujourd'hui ce jour était enfin arrivée. Je remonte dans ma chambre, et revérifie une nouvelle fois que je n'avais rien oublier et une fois que la vérification ai était faite, je me pose face à ma fenêtre pour observer une dernière fois la rue, les voisins, mais aussi tout mes camarades de classe qui traînais dans le quartier, rien n'allais me manquer, ni la ville, ni les voisins et encore moins le lycée. Le lycée était mon deuxième endroit de malheur, j'avais constamment ce groupe de personne populaire qui ce croyaient supérieur a tous et que tout le monde aimaient aussi, sur le dos, surement parce que moi je n'était ni intéressante ni populaire, alors il n'hésitait pas à me faire subir tout sorte de violence et de méchanceté, comme eux, comme mon père, je voulais partir,  les fuir, et enfin ce moment était arrivé, j'allais partir m'en aller loin d'eux, très loin. Un bruit de klaxon me fait sortir de mes pensées, ma mère me criait de descendre, et surtout de me dépêcher, J'enfile un manteau, mon sac a dos et je descend ma valise jusqu'en bas ou un homme âgée d'une cinquante d'année environ m'aide a la portée. Une fois que l'ont ait finis de charger la voiture, je finis par m'installer dans le siège arrière et j'essaye de m'endormir dans l'espoir de ne me réveiller qu'as l'arrivé seulement et ainsi faire passer le trajet le plus rapidement possible. Huit heures de voyages plus tard, je finis par ouvrir les yeux et je constate que le chauffeur commençait a entrer dans une petite ruelle composer de plusieurs maison blanche au toit bleue, toutes identiques les unes des autres. Ont finis par ce garer devant l'une des petites demeures qui elle était située tout au bout de la résidence et contrairement aux autres demeures, elle n’était pas face a une autre maison mais face à une petite foret qui ressemblait à un parc dame nature, qui continuait tout le long de la rue et mettais également fin à la rue.  maman: tu viens ma chérie ont va découvrir notre nouvelle demeure  Je descendit à mon tour du véhicule et me mis à respirer l'air frais produit par le ciel, une odeur pure et tellement différente que ce que je pouvais respirer dans la grande ville, un mélange de joie et a la fois d'angoisse me prenait a la gorge, surement des sentiments dû au fait que je sois enfin loin de mon père et en même temps de l'angoisse dû a cette question que je me posais sans arrêt depuis notre départ, comment va t'elle ce dérouler cette nouvelle vie. Va t'elle être aussi joyeuse et pleine de bonheur comme je m'attend qu'elle le soit ou bien une nouvelle fois elle me seras semer d’embûche. Ma mère qui m’appelais finit par me faire sortir de mes pensées, je me retourne pour regarder ce qu'elle voulait et elle me tendis sa douce main que je prend fermement et nous partons toutes les deux visiter notre nouvelle maison, le vielle homme quant à lui vidait le coffre et déposait nos bagage sur le palier pour ensuite finir par s'en allez sans même nous lancer un petit en revoir, sûrement ce long voyage l'avait fatigué et voulait t'il rapidement retournée chez lui.  Nous visitions moi et ma maman main dans la main les pièces, une par une, au rez de chausse il y avait la cuisine et la salle a manger, les pièces étaient petite mais elles étaient  peinte dans de jolie couleur, d'un ton rose pale et blanc, et l'ameublement préalablement préparer par ma maman avant notre départ était a la fois sobre et joyeux. Je me sentais finalement apaiser dans cette petite maison. Maman: Enfin Kaylee nous allons vivre en paix et loin de ce brute, je suis vraiment désoler ma fille de t'avoir fait subir tout sa et de ne pas avoir agis avant, avant que tes petits yeux ne versent autant de larmes Et s'en même lui répondre je la reprend dans mes bras, sa petite bouille toute triste me faisait tellement de mal, elle avait vécu tellement de malheur et de tristesse  dans sa vie mais elle as aussi été tellement courageuse, elle as toujours sût surmonter ces épreuves la tête haute, ma mère était mon héro mais aussi mon exemple et personne ne pourrait jamais me dire le contraire. Elle as toujours essayer de me protéger de toute source de tristesse ou de malheurs, comme ce jour là, je me souvient, ou elle est venu me chercher a l'école mais une des élève m'avais sauvagement tirée les cheveux sans aucune raison, ma mère était venu ce soir la et à crier scandale sur tout les enseignants et suite a cela la fille à finalement été renvoyer, ma mère était forte et je l'admirais.  Ont finis de visiter la maison et elle me montra ensuite ma chambre, une pièce toute simple et elle aussi peinte en blanc, elle étais composer d'un grand lit et d'une armoire en réalité rien de plus banale, mais l'endroit ou ce trouvais cette chambre était un peu plus original, elle ce situais sous le toit et était face a la foret qui ce trouvais juste en face de chez nous.  Une fois la visite termine chacune de nous deux montaient nos valises dans nos chambre, puis ma mère m’annonça qu'elle allais allez ce reposer, qu'elle ce sentais fatiguer.  Je me retrouvais alors seul, et j’hésitais entre allez découvrir la ville ou bien seulement m'allonger moi aussi sur mon lit, mais après mure réflexion je décide d'allez découvrir les recoins et pourquoi pas me promener dans la foret. je finis de ranger quelque vêtement et je me prépara a sortir, j’écris un petit mot que je posa sur la table de travail de cuisine pour prévenir ma mère a son réveille et éviter qu’elle ne s'inquiet je m'habille ensuite d'un manteau chaud puisque le temps m'avait l'air relativement frais de dehors.  Je sors pour allez découvrir ma nouvelle ville, notre quartier était assez calme et je pense que tout le monde devait ce connaître,  et je n'avais pas tord car après avoir marcher un peu plus je pouvais observer face a une maison un groupe de vieille homme qui jouait aux pétanques tandis que leurs enfants surement ou petits enfants eux jouaient et entraient sortais des maisons des alentours, le temps était chaleureux et de voir toute ces personnes réuni et rigoler ensemble mettais du baume au cœur, mais je finis par avancer et arriver face à un grand arbre, je constata une maison différente des nôtres que je n'avais pourtant pas remarqué a mon arrivé, surement parce qu'elle était dissimuler derrière le grand arbre planter dans le jardin, sa construction, était identique a tout nos autres maisons et la seul différence était la couleur dont elle avait été peinte, elle était de couleur noir et gris, des couleurs assez obscur pour un quartier qui donne des aire de joie. Mais en m'approchant de la demeure par curiosité, je pus observer quelqu'un m'observer derrière le rideau d'une des fenêtres situé au rez de chaussé, alors prise de peur je m’éloigne le plus possible de la maison en courant. Toute essouffler je finis par m'arrêter pour regarder derrière moi si je n’étais pas suivi, je sais que c’était un peu parano de ma part mais j’avais tellement peur, je sais que mon père était un être dangereux et que juste pour nous faire du mal, il pourrais nous envoyer quelqu'un pour ce venger de notre départ, alors je devais me méfier de tout le monde et cette maison avait l'air tellement suspecte et sombre, je préférais m'en éloigner. Mais en me retournant je fus soulager de constater que personne n’était derrière moi. Je finis par reprendre mon souffle et j'observe ou est ce que j'était tomber, un panneau au bout de la rue affichait "le centre ville", moi qui ne voulais visiter mon quartier seulement j'ai finit par atterrir au centre ville, je sourit.  Je longeais le long trottoir qui alignais les boutiques côte à côte, les personnes avaient tous l'air de ce connaitre, comme un petit village, il ce saluait tous les un des autres et moi j'était la à faire tache à ne connaitre personne. Je continuais de marcher pour découvrir chaque petite boutique, la rue était longue et la route large, mais malgré cela le centre ville était beaucoup plus différent de la grande ville que nous venions de quitter  Je m’avançais un peu plus et sans faire attention je percute un jeune homme, ou plutôt un garçon, grand de taille mais qui avait l'air d'être du même âge que moi,  une musculature assez développer et les yeux bleus, d'un bleue tellement profond que j'en oublie même que j'était en train de le dévisager, je lui barbouille des excuses mais il m'ignora, me regarda avec tellement de dégoût et s'en alla. Pourquoi autant de dégoût dans son regard alors que je ne le connaissait à peine, je me retourne pour le voir partir mais je le vis s'en aller en courant, je ne le connaissait a peine et j'avais déjà eu le droit à de la méprise, j’espérais sincèrement que je ne le rencontre pas au lycée, mais surtout que les gens ne me regarderont pas également avec tant de haine  Je ne sais pas ce que j'ai fait pour mériter tant de méchanceté dans ma vie, est pas seulement d'un groupe de personne mais de tout le monde, les gens ne m'ont jamais vraiment apprécier, et lorsque je demandais a ma mère pour quelle raison les gens ne m'aimais pas en larme, elle me répétais sans cesse que les gens était jaloux de moi, mais jaloux de quoi, certain avait ce que je n'avais pas, et ce que je n'aurais jamais. Alors sans même comprendre pourquoi les gens me haïssait j'ai finit par m'habituer au regard plein de haine que je recevais sans arrêt mais aussi au coup que je recevais et pas seulement de mon père, mais j'avais décidé qu'en arrivant ici tout allais changer, que je devait changé, car j'avais la chance de reconstruire une vie, de me reconstruire, et qu'il me fallait que je sois plus forte pour réussir a atteindre le bonheur, que je sois forte comme ma mère. Je ne laisserais personne m'écraser de nouveau et je leur tiendrais tête, mais il me faudra aussi beaucoup de courage.    Suite.............