QUI SUIS-JE

?????: Leana tu sors de cette classe immédiatement, et je ne veux plus te voir Moi : Mais pourquoi ces toujours moi qui prend j’ai rien fait c’est cette folle de Myriam qui me laisse pas La prof : TU SORSSS DE CETTE CLASSE TU M’ENERVE TU SORSSSS Moi : d’accord d’accord je sors, doucement vous risquez de faire une crise cardiaque. Je me présente Léana, la fille de Samir un puissant personnage dans la cité et la fille de Malika, une femme douce, et au grand cœur, apprécier de toute les gens du quartier aussi, elle as de nombreux amies au sein de la citée des pipelettes qui elle aussi ont des enfants au sein même du lycée ce qui voulais dire que mon expulsion de la classe de chimie arrivera jusqu’au oreille de ma mère. Je sors de la classe et vais rejoindre la permanence, la classe ou tout les autres abruties ce regroupent pour sécher les cours ou tout simplement parce que comme moi il ce sont fait virée du cours, j’avance pour entrer dans la classe et je le vis, Moi : merdeee pas lui Je rabats ma capuche sur mon crane et je rentre tête baisser. De qui avais je peur, c’est simple, de Hakim le meilleur ami de mon grand frère, il as la langue bien pendu et je sais qu’il ne ce retiendras pas de lui avouer qu’aujourd’hui j’ai été expulsée de classe et je peux vous dire que lui, il ne risquerais pas de me laisser en vie comme le ferais ma mère, pour mon frère l’école est important, pour ce construire une vie stable et ainsi fonder une famille, mais moi, honnêtement l’école sa commençais vraiment à me monter à la tête avec cette Myriam dans ma classe, je voyais rouge à chaque fois que je voyais sa face de folle ; je vous décrit le produit, teint orange et du mascara qu’elle doit surement remettre sur la couche de la veille, cette fille je ne lui parle pas depuis que je suis née, ont as grandis dans la même citée, elle vit dans l’immeuble qui ce trouve en face du mien, je ne lui ai jamais parler, je ne l’aimais déjà pas le jour où je suis sortie du ventre de ma mère, cette fille je ne l’ai jamais sentis, ni en maternelle, ni en primaire, ni au collège alors encore moins au lycée, elle ce sent tellement supérieur par rapport au autre, je me rappelle un jour, à l’école, nous avions à peine quatre ans elle as oser me regarder en m’accusant d’avoir bu son jus d’orange, devant toute la classe elle c’est mise à pleurer, crier et à battre des pieds en hurlant je cite « MADAME LEANNA A BU MON JUS D’ORANGE OUAIN OUAIN » je me rappelle de ce jours comme si c’était hier, tout le monde m’as ensuite regarder avec un drôle d’air, certain avec méfiance et d’autre comme si j’était une abominable créature sortie des ténèbres et depuis ce jours je me tape Myriam à chaque année de ma scolarité, alors il faudrait que mon frère comprenne que je ne peux aimé l’école dans de telle condition cela m’est impossible, Hakim : Ehh toi-là qui est rentré sans dire bonjour ni venir m’expliquer ce qui t’arrive tu te crois où Merde, il venais de me grillé et je sentais déjà le regard de mon frère sur mon dos me brûler, et me consommer petit à petit, Hakim : Déjà enlève ta capuche on est pas au quartier ici J’ignore ce qui venais de dire et laisse ma capuche sur la tête, j’essayais de trouver une solution en même temps, est ce que je devais me levé et m’en allez tout en l’ignorant, mais je sais qu’il me suivra et ne ce laisseras pas faire aussi facilement, où faire pleurer toute les larmes de mon corps et le supplié de ne rien dire à mon frère, mais même là je sais qu’il n’arriveras pas à contenir sa langue, ou tout simplement je devrais assumer mes responsabilités, oh et puis zut, je n’y suis pour rien si cette Madame Roblochon ne m’aime pas, oui vous ne rêvez pas, ces bien son prénom, et je la déteste elle aussi. Je sens mon téléphone vibrer dans ma poche, j’avais une envie pressente de regarde de qui ce pouvait bien s’agir ce message mais le moindre de mes gestes énerveras forcément Hakim, qui continuait à me demander de retirer ma capuche sous le regard de tout les autres élèves punit comme moi, Hakim : Tu crois que tu va te foutre de ma gueule jusqu’à quand, je te demande de retiré ta capuche et tu fait la sourde, Il s’approche de moi, et soudainement, d’un coup de main il retire ma capuche, mon visage lui apparait enfin, il fut d’abord choquer de voir que la fille insolente n’était que la petite sœur de son meilleur pote mais quand plus elle c’était faite virer de cours ; Hakim : Toi, t’as fait quoi encore Moi : je te jure sur la tête de Sami Hakim : me jure sur la tête de personne tes folle toi, ta fait quoi encore Moi : Mais rien je te le jure, j’ai rien fait, rien de rien, Hakim : Eh je te connais trop toi tu fait trop de connerie dans ta vie Ne l’écoutez surtout pas, cet homme aime en rajoutée des couches, même si je n’ai rien fais du tout ; Moi : MAIS nannnn je te jure je n’ai rien fait Hakim : Ouais ba tu diras sa à Sami alors Moi : Quoi mais nonn je n’ai rien fait, S’il te plaît lui dit rien Hakim : Quoi rien lui dire, il m’a fait jurer de lui dire toutes tes conneries et tu crois que je vais me taire, pas possible ma belle, Moi : Purée tu es une balance Hakim, j’ai jurée y’as pas plus poucave que toi, Les autres élèves suivaient notre conversation avec tellement de concentration, ils se sont mis à glousser lorsque j’ai répondu à Hakim, et rien que pour cela il ira tout dire à mon frère, il s’en va en me lançant des coups d’œil meurtrier, faudrait peut-être qu’il ce calme notre ami, il as un peu trop pris son rôle aux sérieux. Moi : Hakim Il m’ignore, Moi : Hakim Il m’ignore toujours, décidemment le petit bébé était réellement en train de me boudée parce que je lui ai balancé la vérité en pleine face, pfff j’avais affaire à un nouveau née, mais je savais aussi comment le sortir de ces gonds, je n’ai pas grandis à ces côtés pour rien, je me lève et je le vis m’observer, je commençais déjà à attirer son attention, il me regarda mais fit mine de ne pas m’observer, il me prend pour une conne, mais je n’en suis pas une, et je vais m’asseoir à côté de Marwan, le mec à Myriam, cette fille je la détestait et c’était de sa faute si je me trouverais dans la m***e en rentrant chez moi, je pouvais au moins lui emprunté son petit ami et puis s’as n’avait pas l’air de la déranger non plus puisque il me matais depuis que je suis rentrer dans cette pièce. Je vais donc m’asseoir à côté de lui, Hakim me regarda avec de gros yeux, mais je fis mine de ne pas comprendre ce qu’il voulait me dire, il ce leva sûrement pour me parler mais son téléphone ce mis soudain à sonner, il regarda sur l’écran de qui il s’agissait, je le vit hausser un sourcil puis sortir de la classe ; Marwan : Alors comme ça belle gosse tu vient t’asseoir à côté de moi Arghh trop arrogant telle femme telle mec, beurk Moi : Oui pourquoi tu ne veux pas de moi à tes côtés, Marwan : Bien sûr que si qui ne voudrait pas d’une bombe comme toi Moi : Et si Myriam l’apprend que va tu lui dire Marwan : C’est moi le mâle elle n’as rien à me dire Ahhhh de plus en plus écœurant cet homme, je ne sais vraiment pas comment elle fait pour ce le taper tous les jours, je ne l’aime peut être pas mais je ne souhaiterais à personne d’aimer une espèce aussi répugnante, même à ma pire ennemie. Marwan : Et moi tu me trouve comment belle gosse AFFREUX ; Moi : mmmh tu dégage quelque chose de spéciale De l’ignobilité ; Marwan : Ah ouais et quoi Du dégout ; Moi : c’est secret si je te le dit tu ne sauras pas ce qui te rend aussi spéciale Marwan : Je commence vraiment à te kiffer toi Hakim : Léana lève-toi s’il te plait, viens devant mon bureau ont doit parler toi et moi Je le regarde, il n’était plus comme tout à l’heure quelque chose avait changé en lui, son regard était triste, il c’était passer quelque chose, quelque chose de grave, mais quoi, je me lève les mains tremblantes, que pouvais t’il bien se passer, qu’est ce qui pouvais être aussi grave, Moi : ouais Hakim, il se passe quoi ? Hakim : Ton frère arrive il va venir te chercher Moi : Pourquoi qu’est-ce qu’il se passe ? Hakim : C’est ta grand-mère elle as fait un accident, elle est en réanimation, les médecins disent qu’elle en a plus pour longtemps, je suis désolée, ça me fait mal, je vous rejoindrais après le travail OK Je le regarde, le monde s’effondrais autour de moi, ma grand-mère, cette femme tellement douce, que j’aime tant, allais me quitter, je ne peux pas, je n’y arrive pas, une larme coule de mon œil droit, Hakim me prend dans ces bras, mais plus rien, j’ai mal, je ne ressent que la douleur, un vide, je l’aime, j’avais peut être une chance de l’aider, peut être qu’elle s’en sortiras, je ne peux pas être pessimiste, elle m’as toujours appris à voir les choses positivement, je sentis le téléphone de Hakim vibrer contre moi, je me trouvais encore dans ces bras, il ce détacha de moi, je le regarde, il pleure, lui aussi il l’aimais, il pleure aussi, c’est plus grave que ce que l’ont pensaient, il répond, me regarde, et secoue la tête, Hakim : Tout mes condoléances Léana, elle est morte. Moi : Nan hakim tu me mens, ces une blague, tu viens de me dire qu’elle était encore en vie, Hakim, je t’en supplie dit moi que tu rigole, que sa n’est qu’une blague, pas elle Hakim, pas elle, Il me prend contre lui, et me tire pour me sortir de la classe, mais je n’y arrivais pas, je n’arrivais plus à bouger, j’était comme paralysé, paralysé par la tristesse, puis je repense à son sourire, à ces douce mains, à son visage, à cette amour, à cette douceur, à sa tendresse, elle était partit, pourquoi elle, pourquoi elle, je m’effondre au sol, mes jambes ne me tenais plus, Hakim essayais de me calmer, des élèves étaient venues me consoler, mais personne ne le pouvais, personne ne pouvais me consoler, la personne qui m’était le plus chère était partit, plus jamais je ne la reverrais, je continuais à pleurer, à hurler, Hakim me prend dans ces bras, mais rien ne me calme, elle, elle n’était plus là, je n’entendrais plus le son de sa voix, je ne verrais plus son magnifique sourire, je ne peux pas, je ne peux plus me calmer, elle me veux forte, je suis forte, mais je ne peut pas me contenir, tant de détresse, je ressentais tellement de tristesse, j’en avais mal, c’était douloureux ; que devais je faire, que devrais je dire, Hakim : Je t’en supplie Léana calme toi, ton frère il arrive, il est sur la route, Moi : Hakim, p****n elle est partit, je ne la reverrais plus, je vais faire quoi, Hakim : Je le sais mais Léana ces comme ça les gens y meurent et d’autre ils naissent Moi : Pas elle, pas elle, pas elle Hakim ?????: Hakim, qu’est ce qu’elle as ma sœur Hakim : Sami tu sais très bien ce qu’elle as, Mon frère ce penche sur moi, il recule les élèves qui étaient autour de moi, et la directrice elle regardais la scène de loin, elle laissait faire mon frère, Sami : Léana arrête s’il te plais, Léana, arrête tu sais très bien que j’aime pas te voir comme ça, papa aussi il doit te voir plus forte, il as mal lui aussi, il as besoin de nous, ces enfants, ont doit le consoler, l’aider, lui montrer que c’est ça la vie, mais qu’il doit continuer à vivre Moi : Sami arrête de me dire sa tu sais très bien comment elle était importante pour moi, j’y arrive pas, je peux pas me retenir, ces trop dure, j’ai trop mal, j’ai jamais eu mal comme ça Il me regarde, et me prend dans ces bras, il savait que je ne pouvais pas rester calme, c’était ma grand-mère qui était partit, cette femme, cette ange, elle n’était plus là, je ne pouvais pas me retenir, il essaya de me relever, mais je n’y arrivais pas, c’était comme si mes jambes étaient paralysé, alors il me porte, Hakim l’aide à ce frayer un espace entre les élève et on s’en va, j’étais coller au torse de mon frère, son parfum me réchauffais, je me sentais moins seul dans ma tristesse, je l’entendais parler avec Hakim, de ce qu’ils allaient faire, mes parents allaient devoir entrer au pays pour enterrer le corps de ma grand-mère, et je doute qu’ils n’acceptent de me laisser venir avec eux, ma mère n’aime pas trop que j’aille chez la famille de mon père, elle dit qu’ils sont jaloux, et qu’ils me veulent du mal, je l’ai cru et je ne suis jamais partit et j’en suis sur que ce pourrais être vrai, à près tous ont ne sait jamais d’où vient la jalousie, et je sais que ma mère ne veux que me protéger et je respecte son choix. Sami me monte dans sa voiture et Hakim lui ce pose à côté de moi, pour essayer de me consoler, mais les larmes elles coulaient toujours à flot, je n’arrivais pas à m’arrêter, Sami me disait les plus belle phrase qu’il ne m’avais jamais dite depuis que je l’ai connu et Hakim lui me caressais les cheveux, je ressemblais à une petite fille entre ces deux gros bras musclé qui essayaient tout deux de me consoler, mais la douleur était quand même là et je ne pouvais pas le nier, je sais que j’aurais mal encore pour un bon bout de temps. Ont arrivent à l’hôpital dix minutes plus tard, j’avais retrouver la mobilité de mes jambes, et je descend du véhicule pour courir rejoindre mes parents, mais Sami me retient et me rappelle que je ne connaissais pas le chemin fallait mieux que je reste à côté de lui. Il ferma sa voiture et m’emmena pas dans l’immeuble ou je m’apprêtais moi à entrer comme une folle, mais dans un autre immeuble qui ce trouvais lui derrière le bâtiment principal, « La Morgue », ce sont les écrit qui était inscrit sur l’immeuble, le réalité refis face à moi, et les larmes ce remirent à couler, je ne verrais plus jamais ma grand-mère et ce seras ainsi jusqu’as la fin de ma vie, mon frère me pris la mains, surement pour essayer de soulager ma peine, mais la douleur était maintenant plus forte que jamais, je savais que j’était proche d’elle, de son corps sans vie, savoir que même si je vais la voir elle ne me parlerais même pas, j’avais mal, la douleur, intense est forte, Moi : Sami, j’y arriverais pas Sami : Si tu vas y arriver, Léana, tu sais très bien que tu es la fille la plus chiante et la plus forte que je connaisse, je sais que sa fait mal, mais tu verras la douleur elle s’atténueras, Je le regarde et vis dans ces yeux de la conviction, il croyait en ce qu’il disait, mais moi pas, je sais que j’aurais toujours cette douleurs à la place du vide que cette mort m’auras laisser, la douleur seras toujours là, présente à la place ou ce trouvais ma grand-mère dans mon cœur ; Moi : Papa, Mon père : Ma fille, sava, j’ai besoin de toi, ses mon épreuve, notre épreuves mais j’ai besoin de toi ma fille, tu es la seule fille que j’ai et je t’aime de tout mon cœur, Je le sers fort dans mes bras, mon père était mon tout, et il était assis dans le couloir de la morgue, avec ma mère à ces coté qui elle aussi me regarda avec des yeux plein de tendresse et de compassion, elle n’appréciait pas trop ma grand-mère mais elle savait à quelle point je l’aimais et à quelle point je tenais aussi à elle, et maintenant elle n’était plus là, mon père me sert fort dans ces bras, et je le regarde verser des larmes, Sami avait poser une main sur son épaule, et essayait de le réconforter avec les mots mais lui aussi tout comme moi, la douleur était là fort, et présente. Mais ce que me cacheras la vie par la suite risquerais de me perturber à tout jamais….. A SUIVRE. Coucou mes petits readers j'espère que vous allez bien et je vous propose à présent de jouer as un jeu "le mood un peu à la squid game", les règles sont simples si mon chapitres vous as plu vous devez obligatoirement venir me suivre sur ** (@ nehana02), ces simple, gratuit et moi ça me fais plaisir et me motive, et en cas contraire vous devrez me laisser un petit commentaire pour me dire ce qui vous as déplu je vous attend les bras grand ouverts mes petit readers, BISOUS BISOUS