Chapitre 1: Ma vie change
Je sors du lycée et le regarde, encore une fois il est là, il m’attend, comme chaque depuis un mois maintenant, je ne sais ni qui il est ni ce qu’il me veux mais comme chaque jours, je l’ignore et lui de même, il ne fait que me regarder droit dans les yeux,
Mariam : il est encore là,
Moi : oui
Mariam, ma meilleure amie depuis la maternelle, le premiers jours ou je suis entrer à l’école, je ne la supportais absolument pas, trop capricieuse et sensibles, elle m’énervais mais ensuite ont as appris à ce connaître et depuis ont ne sais plus jamais séparer, elle ma copine mais aussi la sœur que je ne possède pas, Mariam, est la personne la plus précieuse que je puisse avoir dans ma vie.
Moi : je sais pas ce qu’il me veux
Mariam : tu ne vas pas en parler à ton frère,
Moi : non, trop d’histoire peut être que je me fais des films et qu’en réalité il attend sa sœur
Mariam : ouais sa sœur au lycée, tu te moque de moi, à chaque fois tu es la seul qu’il regarde puis s’en va, mais en même temps c’est vrai que ces graves mignon, un amour caché
Moi : ne raconte pas n’importe quoi, quelle amour cachée, je ne lui ai jamais parler
Mariam : Ba justement tout le sens du mot caché, toi tu l’aimes, lui de même mais vous ne vous parler pas, juste un regard ahhhh une histoire digne d’une série Netflix
Moi : tu es complètement perchée
Mariam : je ne te permets pas je suis saine d’esprit
Moi : ouais c’est ce que je vois
Nous continuons la route les larmes aux yeux, et ces ainsi chaque jour.
Nous finissons par nous séparer devant son immeuble, nous vivons dans une grande cité, constituée de dix immeubles qui eux sont composer d’une dizaine d’étage,
Mariam : bon je t’appelle, ça te dit ce soir ont ce voit
Moi : ok, je finis mes devoirs et après je t’appelle
Mariam : vas-y ma sœur j’y vais
Je me sépare d’elle après nous être prise l’une et l’autre dans les bras. Je m’en vais les écouteurs au oreilles, comme à chaque fois, la même routine, j’arrive ensuite devant mon immeuble, comme chaque fois, à chaque heure et chaque instant j’y retrouve un groupe de jeunes déscolariser pour certain et âgée pour d’autre, réuni pour fumer leur substance toxique, je ne les calculs pas et m’en vais, ce sont les amis de mon frère et s'il apprenait que j’ai posé un seul regard sur l’un d’entre eux je risque de me faire arracher les yeux.
Je rentre enfin chez moi, et je le retrouve, mon frère, ce fou, allonger sur le canapé, je n’ai jamais oser ou e le courage de réellement discuter avec lui, il est tellement incompréhensible et difficile, je ne préfère même pas m’approcher de lui, même ma mère, elle qui l’ai mise au monde n’ose pas le contredire, un dictateur dans toute sa splendeur, pourtant lorsque l’ont étaient petits, nous nous entendions à merveilles, je ne sais pas ce qui as pu changer en lui, no ce qui lui est arrivé, ni ce qu’il fait, en réalité je ne sais de lui que son prénom et son âge et qu’il est dans les trafics les plus sombres de la ville . Je le salue par politesse et il me répond pour la première fois et je m’en vais dans ma chambre, je ferme la porte, pose mon sac sur mon lit et me regarde dans le miroir encore choquer d’avoir entendu la voix de mon frangin.
Quelque seconde plus tard, quelqu’un toque à la porte de ma chambre, pourtant ma mère et mon père ne se trouvaient pas à la maison, j’ouvre la porte et le vois, de sa grande taille devant ma porte,
Zakaria : je peux rentrer,
Moi : me parler à moi, je n’ai rien fait
Zakaria : je le sais je sais que tu n’as rien fait t’inquiète, mais juste parler entre frère et sœur
Je le regarde, une nouvelle fois encore sceptique, que ce passait-il, qu’est ce qui avait changé entre temps,
Moi : vas-y entre, t’es mon frère
Il passe un pas la porte de ma chambre et me prend dans ces bras, je m’arrête e respirer, j’essaye de me pincer pour être sur que tout cela est réel, mais oui, je sentais la douleur de mes faux ongles qui pinçais la chair de mon bras,
Moi : Zakaria, tu vs bien que ce passe t’il
Zakaria : j’ai envie de te prendre dans mes bras, ça fait longtemps, et je ne sais combien de temps il me reste tu es ma sœur
Moi : qu’est ce qui t’arrive
Zakaria : je ne sais pas, j’ai juste envie de te prendre dans mes bras, je sens comme si c’est la fin
Moi : arrête de dire ça qu’est-ce qu’il se passe explique
Zakaria : ce n’est pas à toi de le savoir, je me suis mis dans la m***e seul, je veux juste aujourd’hui te prendre dans mes bras et te dire que je t’aime, tu sais Nina, même si je ne le montre pas assez, tu es la prunelle de mes yeux
Moi, je suis là, encore dans ces bras, contre son torse, à écouter ces paroles, que lui arrive t’il allait-il bientôt se retrouver en prison, impossible, mon frère est très intelligent
Zakaria : ne t’inquiète pas, juste prend soin de toi
Moi : oui d’accord mais dit moi ce qu’il se passe
Zakaria : rien Nina, ne t’inquiète pas, juste sache que je t’aime ma sœur et que jamais je ne t’ai mise de côté
Il finis pas me laisser et s’en va, je reste quant à moi, à ma place planter devant la porte de ma chambre, je ne savais plus que faire ni que dire, je finis par reprendre mes penser, mais je réfléchissait tout de même que lui était-il arriver, pourquoi me disait-il toute ces choses, que ce passait-il dans sa vie, peut être rien, je finis par me changer l’esprit et je vais me changer et prendre un petit gouter dans la cuisine pour ensuite allez faire mes devoirs, Mariam, me parle par message, je réponds et en même temps finis les tonnes de devoirs qu’avait oser nous donner le professeur de mathématique.
Deux heures après je mets enfin fin aux exercices et aux leçons que j’avais à réviser, j’appelle Mariam qui me répond à la seconde même,
Moi : alors on sort t’as fini tes devoirs
Mariam : oui j’ai enfin finis
Moi : moi aussi la même ahhh ont est trop sœur mdrrr alors on va ou en plus j’ai quelque chose à te raconter tu vas être choquer
Mariam : ah bonnnn vas-y je t’attends en bas de mon immeuble sur les bancs ok
Moi : vas-y ok j’arrive de suite
Je raccroche et je me lève, vais dans mon armoire regarder ce que je pourrais porter, mais très vite je perds patience et prend un survêtement et un sweet-shirt, à quoi bon se faire belle quand ont as personne à qui plaire, je m’habille rapidement coiffe mes cheveux d’un chignon fatiguée et vais ensuite prendre ma paire de chaussure, là encore des baskets, je vais saluer ma mère qui était rentrer entre temps et m’en vais ensuite prendre ma doudoune, et m’en vais rejoindre mon amie. Comme à chaque fois que je sors de chez moi, je mets mes écouteurs aux oreilles et m’en vais. J’arrive quelque minutes plus tard j’arrive enfin à notre point de rendez-vous, mais elle comme à chaque fois elle n’y était pas, surement entrain de lisser sa chevelure, alors je lui envoie un message pour la prévenir que je l’attendais sagement en bas et je m’assis sur le banc, je regarde les gens passer, les couple s’enlacer, et je le vois ce garçon que Mariam convoite tant, elle là vu l’année dernière pendant les grandes vacances, et depuis elle ne cesse de vouloir ce faire remarquer pour qu’il la voie, mais ça n’as jamais marcher, moi, je ne suis pas intéresser par les garçon, parce que déjà j’ai peur de mon frère et qu’ensuite je n’ai pas confiance envers les hommes, ça ne m’intéresse pas, j’ai lu et vu beaucoup trop d’histoire de trahison et je n’arrive pas à accepter et me dire que je peux faire confiance, alors tout simplement je laisse, et je n’intéresse pas non plus grand monde,
????: BOOOOOOOOO
Je me retourne effrayer ;
Moi : pourquoi tu fais ça
Mariam : ohhh c’est bonn alors tu fais quoi
Moi : toi tu faisais quoi je croyais j’allais te trouver ici
Mariam : Mais je devais relisser mes cheveux tu sais très bien toi-même
Moi : oui ne t’inquiète même pas je le savais et du coup sayais tes prêtes ont fait quoi
Mariam : comment ça on va faire quoi, c’est simple ma belle ont va se promener dans la cité, je veux que Nourredine me voit
Moi : je ne sais pas ce qui t’attire autant chez ce mec répugnant comment je le déteste tu es quand même incroyable avec tes gouts bizarres
Mariam : alors là tu es quand même culotter
Moi : oui oui ces cela, allez mes ton bras sous le mien ont va allez attraper ta proie
Mariam : ouiii merci je savais que tu me comprendrais mais toi quand est-ce que tu vas allez trouver un mec
Moi : jamais au grand jamais, je vais faire quoi avec un homme
Mariam : comment ça tu vas faire quoi, j’en suis sûr et certaine que toi tu vas finir ta vie entourer de chat
Moi : je ne sais absolument pas pourquoi cette idée est reprise par tout le monde à croire ces maux de vivre seul et en plus les chats ces mignon est beaucoup plus compréhensible que tous les hommes que je pourrais trouver sur terre alors s’il te plait evite d’insulter les chats et ma vie de célibataire,
Mariam : ah oui tu as énormément parler là espère que tu n’as pas trop mal à la bouche
Je la regarde et lui donne un coup de coude sur la cote, elle gémis de douleur, mais explose ensuite d'en rire, telle a été mon amitié avec Mariam depuis qu’ont ce connais, pleine de fou rire, et de bon instant et ce depuis que nous nous connaissons,
Mariam : je t’aime ma grosse
Moi : ne commence pas avec le poids mais moi aussi je t’aime
Nous avançons alors dans la cite à faire des tours autour d’un garcon qui ne pose son regard que sur les filles les plus ridicules du quartier , Mariam est beaucoup plus belles que toutes celle avec qui ont peux le voir discuter, je ne sais vraiment ce qu’il leur trouve à toute, puis soudain assise moi et mon amie sur le banc face à l’immeuble ou est ce qu’il avait décidé de s'installer avec ces amis, un garçon, lui aussi surement âgée du même age que nous tous vient vers lui, je le regarde, il était bizarre, beau certes mais à la fois sombre, comme si il cachait quelque chose de bizarre, puis soudain, il se tourne et me regarde d’un drole d’air avec un sourire en coin de bouche, surement essayait il de me draguer mais sa avait l’air quand même louche comme technique de drague, je dirais même que son sourire, me faisait peur,
Mariam : tu as vu le garçon qui est arriver, il est carrément trop beau meuff, tu attends quoi sérieux pour mieux t'apprêter et en plus il te regarde, quelle gâchis ma belle tu devrais faire plus attention à ton style vestimentaire,
Moi : oh s’il te plait tu ne vas pas recommencer avec mes joggings moi je les aime ces tellement plus confortable que tous vos jeans slims ok
Mariam : oui c’est sa voile toi la face
Moi : Mariam, s’il te plait, j’ai froid sa te dit on s’en vas,
Mariam : mais et Nourredine,
Moi : tu vois bien que le mec est accrocher à sa langouste depuis tout a l’heure il est accrocher à elle comme une langouste
Mariam : quoi mais qu’est-ce que tu racontes il l’aime pas, tu vas voir demain est un nouveau jour et demain je vais essayer une nouvelle fois,
Moi : mais oui et ce seras de même les autres prochaines semaines,
Mariam : exactement tu as tout compris allez on y va mais je le fais vraiment pour te faire plaisir
Moi : oh mais qu’elle amour cette fille, allez lève ton popotin de ce banc froid depuis tout à l'heure je gèle
Ont finis par ce lever et en chemin je finis par lui raconter mon après-midi au côté de mon frère, jamais je n’aurais cru qu’il m’aimait réellement, mais moi je l’ai toujours adoré, et respecter, ces mon grand frere et ma famille, mon sang, je ferais tout pour lui,
Mariam : tient donc il a un cœur
Moi : ohh arrête le pauvre, il est mimi
Mariam : sa oui je suis d’accord avec toi il est tellement beau
Nous arrivons enfin devant mon immeuble, elle m’a proposé aujourd’hui pour la première fois de m’accompagner moi jusqu’as ma demeure et non jusqu’as la sienne, décidément aujourd’hui tout le monde veut changer et s’améliorer, c’est drôlement bizarre.
Je monte chez moi, mais je n’entendais pas la voix de mon père qui émanait du salon, pourtant, toujours j’arrivais à entendre derrière la porte sa grosse voix roque commenter un match de foot ou discuter avec ma mère, mais au moment où je mit la clé dans la serrure, j’entends une voix crier, hurler, c’était celle de ma mère, je la reconnaitrait parmi tant d’autre voix, je me dépêche d’entrer mais la porte s’ouvre soudainement, et pas sur ma famille mais sur lui, le garçon de toute à l’heure, celui qui me regardait auprès de Nourredine, que faisait il la, comment m’avait-il devancer, je ne comprends pas, je le pousse et sur son visage toujours ce sourire aussi cruel, je le hais déjà, sans même savoir qui il est, je ne veux même pas le savoir, surement un ami de mon frere,
Moi : maman, papa, vous étés où
Lui : tu les cherches vient je vais te le montrer
Moi : qu’est-ce que tu racontes toi, allez pousser toi je crois tas trop pris a confiance sur Zakaria
Moi: ZAKARIA TU ME TENIR TON POTE
Mais là encore personne ne me répond seul son rire diabolique raisonne dans mon oreille, et je comprends qu’en réalité ce n’était pas une blague quelque chose de bizarre ce passe ici
Moi : dit moi ou ils sont
Lui : si gentiment demander suis moi
Il se retourne et commence à marcher, je le suis, il m'emmène dans le couloir et entre ensuite dans la chambre de mes parents, la porte s’ouvre et je les vois, la assis, tous au sol, ligoter par une corde, au cou, au poignet et au cheville, un scotch les empêchais de parler. Je comprenais maintenant pourquoi personne ne me répondait , je vis le visage de ma mère en larme, celui de mon père en sang, et Zakaria, lui, il était complètement inconscient, le visage noyer de sang, mon cœur ce brise, en voyant mon sang, ma famille dans cet état, et je cherchais l’accuser, le sans cœur qui as pu faire cela, je regarde autour, et personne, personne ne se trouvais dans la chambre sauf moi et l’autre fou, je me retourne le regard, ; et sans le faire exprès, ou plutôt si je lui la colle sur le visage, il me regarde alors, choquer, surement personne ne lui avait jamais foutu une grosse baffe sur ces joues grasses,
Moi : alors comment sa tu disséqué ma famille
Lui : alors la sale p**e tu es morte,
A peine avait-il finit sa phrase qu’il me colle une gifle à mon tour, je sentais ma joue me bruler, mais je n’avais pas bouger d’un centimètre, mon frere petite me faisait souvent ça, des gifles et je ne devais pas bouger car pour lui, je me devait d’être forte, je ne devais pas crier non plus, rien me taire, et encaisser, sans hurler de souffrance pour pas que l’ennemie ce doute à quelle point je peux être faible, être une personne sans cœur, ces ce que je suis en réalité, je n’ai jamais verser de larmes, et tu ne me verras jamais triste, mais aujourd’hui voir ma mère assise au sol comme une chienne et mon père, mon frere, les deux hommes de ma vie en sang, me met en colère et m’attriste, mais je ne me laisserais pas faire face à ce malade,
Moi : tu leur veux quoi
Zakara : ARRETE Rayane, j’ai dit je vais te ramener les sous, laisse ma sœur en paix
Lui : moi je l’aime plutôt bien ta sœur et je sais que cet argent tu ne me la remmèneras jamais, tu es trop lent, est trop bête, faire confiance aux autres
Moi : donc tu fais tout ça pour l’argent, ou est passer ton cœur d’être humain,
Lui : je n’en ai pas ma belle
Moi : tu dégoute, tes parents ont mis au monde un monstre, seront-il au moins un jour fier de leur progéniture qui as les mains empli de sang
Il me regarde cet fois si droit dans les yeux, il me regarda et je vis la colère, la réel colère son sourire qu’il affichait fièrement depuis tout à l’heure disparait tout d’u coup, je venais surement de toucher à la corde sensible,
Lui : ne parle pas de ma famille, idiote,
Et il me recolla une autre gifle, et comme tout a l’heure je ne bouge pas d’un pouce, mais soudain je sentis autre chose, un coup de poing dans le ventre, dans le visage, des coups qui pleuvait et qui me frappais comme si j’étais un gaillard, mon frère hurlais d’arrêter, mon père pleurait je l’entendais, puis soudain je sentis les coup s'arrêter, je étonnais de ne pas avoir broncher ne serais ce qu’une seule fois, je regarde autour de moi, et je me trouvais au sol, ma famille me regardais, ma mère les yeux en larmes tout comme mon père, jamais je ne l’avais vu pleurer, et mon frère, en colère,
Ryane : alors comme ça tu ne parleras plus de moi, ni de ma famille
Zakaria : arrête laisse la, elle ne t’as rien fait
Moi : espèce d’ordure
Rayane : tu continues, faut dire que tu as plus de cou****es que ton frère,
Moi : ne parle pas de lui
Rayane : non tu as raison, c’est as toi à qui je vais parler maintenant
Il s’approche de moi, et caresse ma joue mais je retire sa main avec un coup de main, il me regarde, puis son sourire narquois revient,
Rayane : je vais te faire une proposition à toi puisque ton frère est inutile
Zakaria : arrête Rayane cette histoire me concerne moi pas elle
Rayane : oui tu as raison mais vous êtes une famille non
Mon père : je vous en supplie mon fils laissez-la en paix, elle est si petite
Rayane : non elle ne m’a pas l’air si petite que ça, et puis la ferme ou je vous éteins
Moi : tu me veux quoi dépêche ont as pas tout notre temps
Rayane : t'as du culot, et j’aime ça, puisque ton frère n’as pas les sous, et qu’il est inutile à ta famille, je te prend toi, tu as le choix entre deux chose, soit tu te marie à moi, tu te sacrifie pour ta famille, sois je les éteint tous, et je te laisse seul face à leur corps, et tes yeux qui ne pleures jamais verseront à ce moment-là le nombre de larmes que tu n’auras jamais verser
Zakaria : arrête Rayane tu es fou tue moi mais laisse la
Je le regarde, lui sourit, jamais, jamais je ne les laisserais ce faire tuer, je les aimes trop pour les sacrifier pour ma vie, mon frère, celui qui m’as fait grandir, celui qui m’as porter sur ces épaules, mon père celui qui me fait rie été qui me console en cas de douleur, et ma mère cette princesse qui m’ai mise au monde, rien que pour la souffrance qu’elle as subi à mon accouchement je lui doit ma vie entière et toute cette amour que j’ai eu, jamais je ne les laisserais ce faire tuer,
Rayane : alors que vas-tu me répondre
Il commence à charger ses armes, et à la poser sur les tempes de ma mère, je la vois, dans ces yeux toute cette tristesse et la peur, elle avait peur, peur pour moi, peur pour elle
Zakaria : ne dit rien Nina, ne répond pas
Moi : Zakaria, jamais je ne vous sacrifierait pour ma propre vie,
Mon frère ce met as hurler, et Rayne lui sourit, me sourit
Rayane : donc ces ouii
Moi : espèce d’enfoi*** j’espère un jour tu auras un morceau de cœur qui te tomberas de n’importe ou
Rayane : je prends sa pour un oui, donc le mariage ce dérouleras dans exactement une semaine, le temps que tu te prépares ma belle, je suis tellement presser, je vous enverrais l’argent par un de mes hommes et ensuite on verra ce qu’il en seras, ok
Moi : ouais ont as entendu maintenant vas t’en
Rayane : non je ne partirais pas avant je n’ai eu le numéro de ma fiancée
Moi : beurk tu me dégoute
Il me regarde et s’approche de moi
Rayane : et je veux du respect venant de ma femme, on est d’accord il n’est jamais trop tard pour que je puisse les éteindre
Moi : mon téléphone est dans mon manteau, tu sais le truc que j’ai retiré en entrant dans la maison
Rayane: et le code
Moi : il n’en a pas
Rayane : très bien je vois que tu n’as rien à cacher en plus ces super
Moi : oui ces sa allez vas t’en
Il finit enfin par s’en allez, je me dépêche de détacher mes parents et une fois tout le monde libre, mes parents me prennent dans leur bras, mon frère quant à lui, était rester au sol, en larme et en criant, me demandant de lui pardonnez, ce qui bien sur est déjà fait, ce n’est pas totalement de sa fautes si cet homme est un enfoiré, il n’y peut rien,
Moi : Zakaria, arrête mon frère ces mon destin et tant que je vous verrais heureuse alors je le serais aussi, ont n'y peut rien, ces ma vie, ces ainsi
Il me regarde à son tour et me regarde droit dans les yeux, avant de me serrer dans ces bras forts, tellement forts que j’avais du mal à respirer. Je lui avais déjà pardonner, dès le moment même où je le vis hurler pour ne pas que je réponds à mon futur époux, mes parents me prennent eux aussi dans leurs bras puis ma mère emmènent mon père ce faire soigner dans la salle de bain, quant à moi, je devais me retrouver seule, je voulais réfléchir à ce qui allait m’arriver maintenant, je prends mon téléphone de là ou je les laisser et je regarde le message qu’il m’avait envoyer ;
Message:
Mon cœur : A plus tard belle gosse prépare toi
J’éteint mon téléphone rien que de voir comment il as oser ce renommer sa me dégoute, je finis par m’endormir, en me demandant ce que me réserverais finalement ma vie, puis soudain mo téléphone ce mis à sonner, je regarde qui ce pouvais être et je vis le numéro de Mariam s’afficher, j’hésite à répondre, mais je finis quand même par le faire, car je devais me vider, raconter ce qui venait de m’arriver à quelqu’un d’extérieur, et elle était ma sœur peut être pas de sang, mais je l’aime et la considère comme telle, alors elle devait savoir, je ne lui ai jamais rien cacher et ce n’était pas aujourd’hui que ça allait changer quelque chose, alors je réponds et entend son souffle derrière le téléphone, elle pleurait, que lui arrivais-t-il,
Moi : Mariam, allo qu’est-ce que tu as pourquoi tu pleures,
Mariam : tu me connais donc tant, je pleure parce que je sais que tu as mal, ton frère vient de m’appeler,
Moi : et pourquoi il t’a appeler,
Mariam : il veut que je te parle, je suis au courant de ce qui vient de vous arriver Nina, tu ne sais rien de lui,
Moi : oui mais que voulait tu que je fasse, je n’avais pas d’autre choix, je n’allais quand même pas laisser mes parents se faire tuer sous mes yeux
Mariam : non ce n’est pas ce que je dis mais Nina que vas-tu devenir, Nina, tu es ma sœur et je sais que ce que tu t’apprête à vivre va te détruire,
Moi : peut-être que je vais être détruire, je patienterais, mais ma famille passeras toujours avant tout le monde, Mariam et sa tu le sais mieux que moi
Mariam : je suis désoler Nina, désoler pour tout, et de ne pas avoir été avec toi, j’aurais dû monter avec toi t’accompagner jusqu’as chez toi, j’aurais dû te laisser chez toi au lieu de te déranger avec mes histoires amoureuses sans tête ni queue
Moi : Mariam, c’est bon arrête de parler comme si j’étais morte ou que j’allais mourir, tu me connais non, je suis la fille la plus intelligente de ce monde, je trouverais une solution de m’en sortir, tu verras
Elle continue à pleurer malgré mes demandes, je ne voulais pas l’entendre être triste pour moi, parce que je ne veux pas être triste, je ne sais pas ce qui pourrais bien m’arriver, mais je voulais m’en allez forte et pas abattu comme si j’allais en enfer, qui sait peut être que quelque chose de bien m’attend finalement là-bas,
Moi : Mariam, arrête de pleurer ou je te promets que tu ne me verras plus jamais, je veux que tu rie et que tu penses à comment est ce que tu vas réussir à draguer Nourredine, ok ton but ultime ces sa
Mariam : tes complètement folle, au moins toi aussi ton époux est beau
Moi : ouais ces peut être la seule chose que je pourrais me dire pour me consoler, bon je vais dormir, d’accord je dois me reposer, je vais surement demain revoir sa vieille tête
Mariam : oui tu as raison bonne nuit ma chérie, et n’oublie jamais que je t’aime et que je serais toujours là pour toi
Moi : oui oui allez bonne nuit
Je raccroche et je finis par m’endormir comme un petit bébé, un sommeil profond et tranquille, je supportais la chose, je ne sais pas pourquoi mais au fond de moi je sais que je vais souffrir, je sais que la douleur m’attend, mais cela ne me dérange pas, pourquoi, pourquoi était je aussi calme face à un tel malheur.